[...] depuis bientôt trois ans a produit chez moi une telle défiance que je crois que, dehors, au premier pas, la terre va se dérober.
Il était temps cependant que ce changement arrivât ; ma santé était fort ébranlée. Peut-être cette nouvelle existence me la rendra-t-elle ?
Je ne sais pas si je pourrai revoir Père ou Mère ; je l’espère cependant.
Je termine à la hâte, l’heure me presse, j’attends ta lettre avec impatience, je compterai les jours.
Je t’embrasse de cœur