Orientation bibliographique

Le cartulaire est précédé d’une introduction monumentale dont le propos, là encore, était de combler une vide historiographique en posant les premiers jalons d’une histoire économique du pays chartrain. Cependant, il s’agit là de l’aboutissement d’un chantier ouvert par Lépinois au cours la décennie précédente, qui a déjà produit une importante monographie :

Ces travaux ont été complétés plus tard par des ouvrages plus resserrés chronologiquement :

Ce dernier ouvrage est conçu comme une histoire topographique chartraine, rue par rue.

L’ouvrage de Chédeville a été prolongé récemment par une étude consacrée à la fin de la période médiévale :

Le trésor de la cathédrale a suscité de nombreuses études, parmi lesquelles il faut citer :

La cathédrale a suscité d’innombrables études, mais celle de René Merlet, fils de l’auteur du cartulaire, a fait date :

La synthèse la plus complète est aussi la plus récente :

La prosopographie du clergé n’est pas en reste :

Il convient de rappeler que les travaux de Merlet et Lépinois trouvent un antécédent important dans ceux de Jean-Baptiste Souchet (1589-1654), publiés seulement au XIXᵉ siècle :

Enfin, de manière générale, les 216 numéros de la bibliographie de Lucien Merlet constituent un ensemble considérable dont la majeure partie s’intéresse à l’histoire de la ville et de la cathédrale de Chartres.