il est sous-directeur des Écoles chrétiennes de Bordeaux.
Il utilise une presse autographique pour ses besoins professionnels.
Il est né le 21 février 1831 ; son père était conseiller à la cour de Nîmes.
Il a dirigé l'imprimerie de son grand-père depuis 1850 et reprend son brevet d'imprimeur en lettres quand il meurt en 1857. Il imprime le Journal de Mende. Son brevet de lithographe est annulé en 1859 pour inexploitation , mais il continue d'exploiter celui d'imprimeur en lettres jusqu'en 1862 ; il cède alors l'imprimerie à Privat qui est déjà pourvu d'un brevet et l'administration annule son brevet de tyopgraphe en 1863.
Il est né à Paris le 23 mai 1817 ; son père était passementier. Il est graveur et écrivain lithographe.
Il a été breveté au Mans, puis il a renoncé à exploiter son brevet qui a été annulé. Il a repris un travail comme ouvrier chez des confrères du Mans. En 1870, il rachète les brevets de lithographe et de libraire de Demain qui part pour Dourdan prendre une entreprise plus importante.
Il est né le 23 mai 1817 à Paris. Son père était passementier et, comme brodeur, il a la clientèle de l'Empereur. Il est écrivain lithographe et il travaille chez Monnoyer au Mans quand il fait sa demande de brevet.
Il ne semble pas qu'il ait réussi à travailler à son compte puisque, en 1862, il est ouvrier chez les imprimeurs manceaux Loger et Boulay tandis que sa femme est repasseuse ; l'enquêteur ne trouve chez lui qu'une "vieille presse lithographique en mauvais état" et "deux pierres lithographiques sèches". Son brevet est annulé pour inexploitation. Toutefois, en 1870, il part s'installer à son compte à Palaiseau.
5, rue Saint-Bon
Il est né le 4 février 1834 à Paris. Il est marié. Il est fabricant de parchemins, fournisseur de l'Imprimerie impériale depuis le premier janvier 1865, et de papier velin. Il s'est mis ensuite à faire des étiquettes-sacs pour l'expédition d'échantillons par la poste, "genre d'industrie auquel il a donné une extension considérable" et des étiquettes sur parchemin. Il paie un loyer 3 000 F pour sa boutique.
Sa demande de brevet est appuyée par le directeur de l'Imprimerie impériale. Il obtient simultanément le brevet et l'autorisation d'avoir une presse à pédale (système Lecoq) et des clichés en cuivre tout faits pour reproduire sur les enveloppes titres d'échantillons et adresses. La lithographie lui servira surtout pour les étiquettes et les registres.
7, rue des Cordeliers (1859) Place des Aires (1865)
Il est né le 7 novembre 1812 à Grasse (Alpes-Maritimes), son père était sellier. Il est père de 4 enfants et considéré comme un propriétaire aisé.
Il reprend les brevets de lithographe et d’imprimeur en lettres le même jour et rachète le matériel à la fille mineure de Dufort cadet. L’accroissement du nombre de parfumeurs justifie qu’il y ait un second lithographe à Grasse. Imbert typographe imprime diverses brochures d'auteurs locaux concernant la médecine, la religion, la politique, des scènes théâtrales, des chansons... Lithographe, il imprime des étiquettes et divers travaux de ville.
Il est né le 27 novembre 1810 à Toulon ; son père était chef de bureau à la mairie. Il meurt le 23 juillet 1851.
Il est le lithographe le plus important à cette époque. Il emploie deux, voire trois ouvriers.
Il est né le 14 juin 1831 à Issoudun où son père était épicier. Il a été compositeur, puis prote à Paris, chez Chaix, pendant trois années.
Il a d'abord été breveté pour La Ferté-sous-Jouarre comme imprimeur en lettres et lithographe le 22 décembre 1856. Il quitte cette ville et ses brevets sont annulés car il n'y a pas trouvé de repreneur. Sans doute espère-t-il davantage de succès d'une installation à Issoudun où il rachète l'imprimerie de Paul Cotard qui vient de mourir. Il ne demande que le transfert des deux brevets de typographe et lithographe. En effet, il effectue le rachat en société avec son beau-frère Gaignault, commerçant à Issoudun. C'est ce dernier qui fait la demande du brevet de libraire. En 1869, il laisse la totalité de l'entreprise à Gaignault.
14, rue Hautefeuille (1869) 35, rue neuve des Petits-Champs (1857) 8, place Saint-Sulpice (1852)
Il est né le 14 février 1817 à Charly-sur-Marne (Aisne) ; son père était manouvrier. Il est graveur en taille-douce depuis toujours. Il a travaillé chez Dauthuille, puis chez Large dont il a racheté l'établissement. En 1842, il a été inculpé pour escoquerie, mais le 13 mai 1842 a obtenu un non-lieu, le plaignant ayant été désintéressé à temps.
En 1851, il fait de l'imagerie et des décors d'éventails ; il possède 4 presses et fait travailler plusieurs ouvriers. Le 15 juin1852, il est autorisé à transporter une de ses presses chez Dudoux, fabricant de lampes (33, rue Coquillère) pour décalquer des filets gras, sur 600 000 boites à poudre pour les poudreries d'Angoulême et du Ripault. Il obtient son brevet pour la taille-douce le 7 juillet 1852, pour faire des cartes de visites et des enveloppes de bonbons ; les affaires semblent moins florissantes. À la suite du mauvaises affaires et du décès de sa femme morte à la naissance de leur second enfant, il se défait de son brevet de lithographe en faveur de Pastour. Toutefois, en 1857, il redemande une autorisation pour une presse lithographique avec laquelle faire des reports de feuillages pour fleurs artificielles. Le Préfet de police donne un avis négatif, contraire à celui de Gaillard, invoquant des dettes (11 mai1857). Ce n'est que le 2 août 1869, qu'il obtient, suite à une nouvelle demande, l'autorisation d'avoir une presse lithographique pour faire des reports lors de la confection d'imagerie pour enveloppes de bonbons. À sa mort, il est remplacé par sa veuve Caroline Pierrez (14 juin 1872).
46, faubourg Saint-Vincent
Il est inspecteur principal du Chemin de fer de l'État.
Il utilise une presse autographe dans ses bureaux.
109, boulevard Beaumarchais (1853) 47, rue Fontaine-au-Roi (mai 1854)
Il est né le 2 mars 1820 à Paris. Il est marié et jouit "d'une petite fortune d'environ 15 000 F". Il excelle depuis 15 ans comme dessinateur coloriste de papiers de fantaisie pour les confiseurs. Installé boulevard Beaumarchais depuis 1850, il vend des objets de curiosité associé à son père, et des cartonnages gaufrés et coloriés réalisés par d'autres imprimeurs. Son orthographe, quoique incertaine (« Je re tré lotorisaton qui ma été à cordé") , n'a pas été un obstacle à son brevet
Coloriste pour des papiers fantaisie à l'usage des confiseurs, il possède un brevet d'invention pour le gaufrage et l'émaillage sur papier. Il lui permet de faire des vases pour contenir des bonbons. Il obtient l'autorisation le 30 juin 1854 de posséder une presse en taille-douce pour l'impression en couleurs sur verre. Il a aussi été associé à son frère David dans une fabrique de papier qui a été dissoute, mais on ne sait auquel imputer la perte des 9 000 F.
2, rue de Prague (1854) 147, rue du Temple (septembre1859)
Il est né le 29 mars 1812 à Paris. Il est marié et père de famille. Il paie un loyer de 4 000 F et possède une maison à Vincennes.
Il est associé à son frère, mais ils se sont brouillésà l'occasion de l'échec d'une fabrique de papiers qui laisse 9 000 F de dettes. C'est son frère qui possède le brevet. Donc il doit demander un brevet pour lui-même ; en attendant de l'obtenir, il sollicite en janvier 1854 une autorisation pour faire tourner les 6 presses de l'imprimerie dans laquelle il dit avoir engagé 40 000 F, et travailler les 20 ouvriers. L'inspecteur Gaillard lui octroie une autorisation de deux mois. Il est spécialisé avec son frère en papiers de luxe unis et en relief pour le cartonnage. Il se dit l'inventeur d'un papier estampé et colorié suivant les modèles qu'il joint. Il a pour successeur Michel Alexandre Baulant (pas de dossier)
Rue du Matrey
Il est né à Fontainebleau (Seine-et-Marne) le 17 janvier 1848.
Il est libraire et dirige un atelier pratiquant lithographie, typographie et taille-douce. Il succède à Sanson qui lui-même avait succédé à Léonce Delahaye, neveu d'Armand Delahaye.
18, rue Compas
Il a racheté l'imprimerie de Baragnon.
94, rue Saint-Maur
Il est né le 5 février 1785 à La Rochelle (Charente-inférieure). Son père était chirurgien aux Gardes françaises. Il a servi pendant 7 ans et a été décoré lors de la retraite de Russie ; il est chevalier de la Légion d'honneur. Il s'est distingué en 1848. Il a 12 ans d'expérience dans la lithographie.
Le 7 décembre 1853, il est condamné à 5 100 F d'amende pour un pamphlet jugé diffamatoire contre le Roi des Belges, Ai-je menti? Il plaide qu'il a été la dupe d'un ancien apprenti qui a imprimé sans le dire sur sa presse. L'amende est réduite à 100 F le 6 mai 1854. En 1853, il ne travaille presque plus et n'a qu'une presse.
Il est né le 8 août 1825 à Napoléon-Vendée (Vendée) ; son père était relieur.
Il reprend l'imprimerie et les brevets de typographe et lithographe cédés par Lecotier, puis obtient, le 10 mai 1865, un brevet de libraire.
10, passage des Quinze-Vingt (1865)
Il est né le 15 mai 1835 à Paris ; son père était menuisier et sa mère brodeuse. Il est marié et père de famille. Dessinateur lithographe, il a travaillé deux ans chez Vanloo, puis chez Lemaire.
Lemaire a loué son brevet à Demangelle et Lacatte qui l'exploitent mais tous trois se fâchent. Ivorel rachète le matériel pour 2 500 F et demande à reprendre le brevet de Lemaire. L'inspecteur Gaillard est réticent car il considère qu'Ivorel n'a pas des finances assez solides, le loyer de son atelier (240 F) venant s'ajouter à celui de son domicile (300 F) Son matériel, dont 3 presses, est saisi et vendu aux enchères le 24 novembre 1866. L'administration a noté que Louis Augustin Martin lui succédait (pas de dossier).
16, rue des Deux-Ponts (1851)
Il est né le 4 avril 1817 à Neuilly-sur-Marne (Seine-et-Oise). Son père était aubergiste. Il est marié. Il est marchand papetier depuis 11 ans.
Il prend les commandes à la commission pour les lithographies et il veut pouvoir imprimer lui-même.