Il est né à Beaune le 25 janvier 1804 ; son père était propriétaire.
Il n'a jamais exploité son brevet à Nuits car il est mort. Le brevet est annulé en 1856.
Pour obtenir son brevet, il évoque le commerce du vin et la nécessité de recourir à des impirmeurs de Dijon ou Chalon malgré l'existence de deux brevetés à Beaune. Sa première demande est faite en nom collectif avec Constant Félix Féry, un ancien instituteur venu à Dole où il travaillait comme écrivain lithographe. Comme c'est impossible, c'est lui seul qui reçoit le brevet.
Il est né à Bordeaux le 9 décembre 1834 ; son père était chapelier. Il est dessinateur lithographe.
Archives Nationales F18 1932
Il est né le 20 juillet 1829 à Castres ; son père était armurier. Il a travaillé deux ans comme premier écrivain lithographe chez Costes.
En 1869, il demande un brevet d'imprimeur en lettres ; la réponse est ajournée malgré une lettre écrite par sa jeune fille à l'Impératrice.
9, rue Vieille Poterie
Il est né à Louviers (Eure) le 29 avril 1816 ; son père était marchand. Il est un militant républicain actif, lié à l'équipe du National, et influent à Orléans par le biais du Journal du Loiret.
Il reprend les brevets d'imprimeur en lettres et de lithographe de son associé Danicourt.
102, route d'Orléans
Il est né le 29 mars 1805 à Autreppes dans l'Aisne. Son père était musquinier. Il se destinait à la prêtrise et est resté au séminaire jusqu'à l'âge de 30 ans. Il a ensuite tenu à Chateau-Thierry, pendant 4 ans une école secondaire. Enfin, il a été successivement, pendant dix ans, compositeur, correcteur et secrétaire dans l'imprimerie de l'abbé Migne. Il est marié et père de famille.
Il a signé un contrat d'association avec le typographe Bertholon pour racheter l'imprimerie et les brevets de Monchény, mais celui-ci, outre ses "intrigues amoureuses" et une expédition en Amérique, "est un partisan du parti légitimiste, il se mêle d'intrigues politiques. C'est un des agents les plus remuants de la société de Jésus". Il a fait le voyage de Wiesebaden pour rencontrer le comte de Chambord. C'est une lettre de dénonciation qui a poussé l'administration, d'abord favorable, a ouvrir une enquête plus approfondie sur cet associé. Pagnier doit s'engager à ne pas accepter d'aide financière de Berholon ; il doit s'engager aussi ne pas travailler pour l'abbé Migne ; une lettre de celui-ci atteste qu'il est décidé à augmenter sa capacité de production mais dans sa propre imprimerie et que l'imprimerie de Pagnier ne sera donc pas une succursale. Pagnier es alors autorisé à reprendre les trois brevets de Monchény. Il se propose d'éditer une Bibliothèque populaire.
Il est né à Caen le 18 juin 1830. Il s'est formé dans l'imprimerie familiale ; son plus jeune frère est aussi ouvrier imprimeur
Au décès de sa mère avec qui il travaillait, il reprend ses brevets de lithographe et d'imprimeur en lettres.
Il est né le 19 septembre 1807 à Caen. Il est depuis 11 ans typographe à Caen lorsque, en 1832, il fait une demande de brevet pour Pont-l'évêque, qui est rejetée.
Malgré l'opposition des autres imprimeurs caennais (Chalopin, Bonneserre, Poisson...), il obtient un brevet d'imprimeur en lettres le 19 août 1833. Le Préfet croit qu'il va utiliser ce brevet pour imprimer "le Mémorial du Calvados, journal fondé par quelques amis du gouvernement". Au lieu de cela, il imprime "un mauvais journal radical, Le Haro, qui se publie à Caen, et cela dans le but avoué de nuire au journal gouvernemental fondé alors dans cette ville" ; de plus, il met "systématiquement ses presses au service des écrivains les plus hostiles au gouvernement.". Il est condamné le 12 février 1842 à 1 000 f d'amende pour défaut de déclaration d'un Dictionnaire de la jurisprudence du tribunal de Caen. Appelé à donner son avis sur un recours en grâce, le Préfet estime que Pagny a trop longtemps abusé de son indulgence.
Il est né à Chalon (Saône-et-Loire) le 18 mars 1828. Il a été imprimeur à Lyon.
Il crée une imprimerie lithographique à Saint-Vallier, puis, le 11 octobre 1875, déclare faire l'acquisition d'une presse typographique. Il fait des travaux de ville.
Il est né à Bordeaux le 15 janvier 1779 ; son père était marchand graissier.
Quand il demande son brevet, il a déjà une presse et veut s'établir en s'appuyant sur son fils qui est écrivain lithographe.
Elle est née le 23 septembre 1816 à Bordeaux (Gironde). Son père était marchand et semble avoir ensuite ouvert une imprimerie. Elle épouse le lithographe Joseph Furcatte avec qui elle travaille car elle "dessine d'une manière remarquable". Devenue veuve, elle demande à reprendre le brevet de son mari car deux de ses enfants sont encore mineurs. Le certificat établi par ses confrères souligne son habileté et celle de sa fille aînée.
94 et 96, passage du Caire (novembre 1868) 16, rue des Filles-Dieu (septembre 1867) 7 et 9, passage du Caire (décembre 1868)
Il est né le 1er août 1839 à Paris. Son père était bijoutier. Il a épousé la fille de l'imprimeur Jamart. Il est longtemps ouvrier lithographe chez son beau-père, puis entre comme ouvrier chez Pathi pour 6 F par jour
Il fait des travaux de ville, imprime des étiquettes d'encre (L'indispensable L. Allix, 1876), et de courts textes. En décembre 1868, il demande l'autorisation de posséder une petite presse et un assortiment de caractères pour imprimer des cartes ; elle semble lui avoir été refusée puisqu'en novembre 1872, il prévient l'administration qu'il va utiliser une petite presse typographique et quelques caractères pour fabriquer des cartes à la minute.
25, rue des Vieux-Augustins 9, rue du Four Saint Germain 20, passage des Petites-Ecuries (juillet 1846)
Il est né le 2 août 1802 à Hanches (Eure-et- Loir). Son père était vigneron. Il a été cultivateur avant de venir à Paris en 1824. Il est alors devenu ouvrier lithographe chez divers imprimeurs. En 1834, il travaille chez Lemercier pour 4 F50 par jour. Il est marié et père de famille ; sa femme est couturière. Il a, en 1845, 18 ans d'expérience.
Il a fait une première demande en juin 1834 avec un certificat de Kaeppelin, Racinet et Chabrelier. Elle est rejetée parce qu'il "ne savait pas écrire mais, depuis cette époque, il s'est livré à l'étude et, quoique ne possédant pas encore une instruction très étendue", il obtient son brevet lors de sa seconde demande en 1844.
Il est né le 12 août 1839 à Montbrison (Loire) ; son père était marchand de vin. Il est écrivain lithographe. Il a vécu à Saint-Etienne jusqu'en 1863, puis à Paris et depuis un an à Rugles.
Il a demandé deux brevets de typographe et lithographe pour Saint-Pierre-lez-Calais qui lui ont été refusés le 9 décembre 1868 par crainte d'une trop forte concurrence. Il les obtient pour Denain, "canton très populeux et très industriel".
9, rue des Filles Saint-Thomas 15, place de la Bourse (1849)
Il est né le 10 mars 1799 à Paris. Il a travaillé dans l'administration des Tabacs à Toulouse, puis, venu à Paris, dans les Messageries royales et dans des compagnies d'assurance.
Il est depuis six mois associé avec l'imprimeur Barbou dans une Entreprise générale d'écritures et d'autographies. Sa demande est soutenue par un pair de France mais l'administration s'interroge sur les raisons pour lesquelles il vit séparé de sa femme depuis longtemps. Il se dit "Lithographe du barreau et des chemins de fer", dans l'Annuaire général du commerce (1849). En 1862, il n'a plus de brevet de lithographe mais il dirige une société d'écritures qui offre "autographies, rédaction, traduction, écritures de luxe, employés pour les administrations à l'heure ou à la journée."
Il est né à Bordeaux le 28 octobre 1786 ; son père était courtier.
En 1824, alors qu'il travaille dans une maison de commerce, il possède déjà une presse de Senefelder qu'il utilise comme amateur et occasionnellement pour son patron. Il est mis en demeure par l'administration de s'en séparer puisqu'il n'a pas de brevet. Il choisit de la mettre en dépôt chez un lithographe breveté, en attendant que lui soit attribué un brevet. Toutefois, l'administration juge que les deux lithographes déjà brevetés à Bordeaux suffisent, et lui refuse ce brevet. En 1828, il renouvelle sa demande mais il y a trois candidats et il n'est pas choisi. Il n'obtient satisfaction que l'année suivante. L'enquête de 1851 note qu'il n'exploite pas lui-même son brevet et que des mesures vont être prises pour faire cesser cet état de choses.
Il est né à Semur le 12 janvier 1820 ; son père était serrurier. Il est propriétaire.
Il décide d'acheter la librairie de Giroud et son brevet qu'il reçoit le 19 juillet 1856. Il est aussi papetier et possède une presse autographique, mais les besoins des administrations locales, des officiers ministériels et des commerçants le poussent à demander un brevet pour pouvoir utiliser deux presses lithographiques.
Il est né le 11 novembre 1794 à Saint-Étienne (Loire) ; son père état marchand.
Il s'est associé avec Bachelard en juillet 1822. À sa mort, il reprend le brevet de son associé. Il est spécialisé dans les travaux de ville.
Il est né à Saint-Étienne (Loire) le 6 mars 1796 ; son père était négociant. Un de ses frères est établi imprimeur à Lyon.
Il laisse pendant un an la gestion de son imprimerie à Fagot avant de la céder, avec le brevet, le 26 septembre1840, à Marie Peronnet, épouse séparée de biens de Fagot. Celle-ci rétrocède à son mari le brevet le 27 mai 1841, mais il semble que les formalités n'aient pas été faites et Fagot doit redemander en 1850 qqqqqque son brevet lui soit envoyé .
53, place de Lyon
Il pratique lithographie et taille-douce. Il remplace un nommé Charasse.
Il est né le 5 janvier 1789 à Saint-Saëns (Seine-inférieure). Il a obtenu la Légion d'honneur en Russie en 1812. Il a été ensuite brigadier de juin 1831 jusqu'en 1837 à la préfecture de Police. Il est marié et père de famille. Paluel est l'orthographe de son acte de naissance mais il signe Palluel.
Il a cédé l'imprimerie à Lecherbonnier en 1839 mais le brevet est resté à son nom.
8, passage des Panoramas, Galerie Montmartre (1853) 89, rue du faubourg Saint-Denis (1853-1867), (1882-1898) Romain et Palyart, 8, rue Martel (1867-1882)
Il est né le 6 mars 1826 à Paris. Il est célibataire.
Papetier à l'origine, il a repris les 7 presses de son frère qu'il exploitait pour des ouvrages de ville et des bilboquets. Il est un grand spécialiste de la fabrication des étiquettes, notamment pour les vins : il parvient à s'imposer notamment en Champagne comme l'un des deux seuls imprimeurs parisiens face aux imprimeurs locaux Barbat et Bruaux. Toutefois, sa production touche tous les produits : les encres (L'Assyrienne, L' Azuline, L'Encre persane, 1875), les conserves alimentaires (Sardines à l'huile Félix Marquet, 1865 ; Macédoine Gentil, 1871 ; Sardines des ambassadeurs Jacquier, 1874 ; Cèpes Sainte-Anne, 1876). Elle est une imprimerie chromolithogaphique de premier plan pour la production des étiquettes "de luxe" et, à la fin du siècle, des affiches. Entre 1867 et 1882, il est associé à Romain. Puis, l'imprimerie devient Palyart et fils, puis Palyart et cie de 1895 à 1898. Elle est reprise par la société Haberer, Plouviez et Douin.
8, passage des Panoramas, galerie Montmartre (1850) 101, rue Réaumur
Il est né le 16 octobre 1821. Il a résidé et exercé au Brésil pendant quelques années.
Il est installé papetier avec son père depuis 12 ans et exploite en parallèle l'imprimerie de Moutonnet depuis 5 ans. Une première demande qu'il fait en 1850 est rejetée car le préfet de Police prétend qu'il entretient des relations fréquentes avec le parti ultra-républicain, qu'il est gêné dans ses affaires et manque d'ordre ; l'inspecteur Gaillard le crédite d'opinions plutôt conservatrices. Il proteste que, depuis qu'il travaille sous le brevet de Moutonnet, il n'a jamais donné lieu à plainte ; il est soutenu par le député Amable Dubois. Il est entendu. Il a 5 presses en 1850 et fait des travaux de ville.
20, rue du Croissant (1827) 16, rue de la Savonnerie (1836) 13-15, rue de la Vicomté (1850)
Elle est née le 9 octobre 1801 ; son père était rentier. Elle a épousé l'imprimeur Pierre Adolphe Berdalle qui avait un établissement important à Paris, 20, rue du Croissant ; il y fit néanmoins de grosses pertes et vendit l'entreprise à son beau-frère. Elle travaille avec son mari.
Comme son mari avait une bonne clientèle comme dessinateur lithographe, elle avait demandé un brevet pour Paris qui lui fut refusé. Lors des entrevues avec les représentants de la direction de la Librairie, il lui est conseillé de faire des demandes pour des villes de province ; après Saint-Étienne, elle tente sa chance pour Rouen. Son mari demandera, de son côté, un brevet d'imprimeur en lettres pour la même ville. Ils connaissent des difficultés financières et font appel à Pierre Saint-Evron pour les renflouer. Il semble qu'ils aient essayé de retravailler à Paris par le biais du brevet obtenu par leur fils Victor Hubert pour imprimer de la musique. En 1853, ils renoncent et cèdent à Saint-Evron l'imprimerie et leurs deux brevets pour 25 000 F, mais ce dernier a déjà épongé 18 000 F de dettes et doit payer 3 000 F de fournitures, ce qui leur laisse peu à toucher. L'imprimerie Berdalle a donc un production typographique de livres, brochures et journaux : Le Frondeur (1836), Le Corsaire rouge (1840), journaux littéraires, Le Gratis de Rouen (1840) et Les Petites affiches (1850), journaux d'annonces, La République (1848), Le Contrat social, journal populaire républicain (1848), L'Impartial de Rouen (1849), La Normandie, moniteur de Rouen (1852). Par la lithographie, elle fait des travaux de ville, des illustrations pour les ouvrages (plans, croquis) et quelques séries de vues pittoresques. "MM. Berdalle de la Pommeraye et compagnie" sont récompensés d'une Mention honorable à l'Exposition des produits de l'industrie française de 1827.
Né le 23 août 1815 à Vervins dans l'Aisne. Son père était instituteur.
Il se dit clerc d'avoué mais travaille chez Martin depuis plusieurs années en qualité d'élève lithographe. Il a d’abord été breveté imprimeur en lettres (5/08/1835) malgré l’opposition locale d’un autre imprimeur qu’il a contrée en invoquant le développement de l’industrie sucrière, de la vannerie fine et de la production lainière. Il est le propriétaire-gérant du Journal de Vervins.
Elle remplace la veuve Beghin avant de céder la place à son mari, Léon Désiré Toussaint Duthoit.
Il est né à Dole le 22 décembre 1843. Son était propriétaire et second adjoint au maire de Dole.
L'administration lui ayant conseillé de chercher à reprendre un brevet inexploité, il n'a pas réussi à convaincre des lithographes de Dole et doit faire une demande de brevet par création.
16, place de la Préfecture
Il est né le 9 avril 1806 à Lyon ; son père était huissier.
Il est poursuivi en août 1843 pour avoir fait des affiches signées de son nom, alors qu'il n'est breveté que pour la lithogra^phie, mais dont le texte typographique a été imprimé par un confrère. Ce dernier est condamné à 3 000 F d'amende, mais Parceint est relaxé. En 1860, il demande à pouvoir acheter une presse typographique pour l'application de la gravure en relief sur les tisssus ; c'est un procédé nouveau qu'il a breveté le 13 février 1860 qui fonctionne sur le principe des clichés. Comme il n'utiliserait aucun caractère typographique, l'administration lui en accorde l'autorisation.
5, rue des Grands boulevards
Il est né le 3 août 1809 à Marseille. Son père était négociant.
Il obtient d'abord un brevet de libraire le 2 décembre 1833. Il rachète ensuite l'imprimerie Carle et obtient un brevet d'imprimeur en lettres le 15 octobre 1849. En 1855, il est condamné à payer une amende de 3 000 F pour défaut d'adresse sur des bulletins de vote aux élections municipales ; le Préfet conseille l'indulgence.
Il est né à Roubaix (Nord) le 19 février 1827 ; son père était fileur de coton. Il a travaillé comme ouvrier lithographe chez Terrin dont il reprend le brevet.
Rue Régale et 1, rue des Chapeliers
Ils utilisent une presse pour les besoins de leur commerce.
5, rue Neuves des Bons-Enfants (septembre 1851)
Il est né le 19 juillet 1798 à Quimper¨(Finistère). Il est professeur de mnémotechnie depuis une douzaine d'années en France et à l'étranger. Il s'occupe aussi d'enseignement de la musique.
Il veut imprimer lui-même ses essais
Il est né le 6 octobre 1812 à Herment (Puy-de-Dôme) ; son père était gendarme. Installé depuis 20 ans à Clermont-Ferrand, il y travaille depuis 15 ans chez l'imprimeur Thibaud (voir le plan pour la. Notice historique sur la cathédrale de Clermont-Ferrand).
Il reprend le brevet de lithographe de Thibaud, mais son brevet de libraire est obtenu par création car Thibaud ne lui cède qu'une moitié de sa librairie, la seconde part allant, ainsi que la typographie, à ses deux fils associés. Il a obtenu aussi de son ancien patron la location pour 18 ans de l'imprimerie lithographique. Charles et Benoît Thibaud rompent en 1855 leur association et le second, qui reste seul dans l'entreprise, fait la demande d'un brevet de lithographe ; il lui est refusé car, lors d'un transfert de brevet, les héritiers s'engagent à respecter les droits du bénéficiaire, Paris-Beaulieu, en l'occurrence.
29, rue du Commerce, Bercy
Il est né le 14 septembre 1804 à Verdun (Meuse) ; son père était écrivain militaire. Il est marié et père de famille. Papetier, il a fait faillite en 1842.
Il a remplacé la dame Boucher dont il dirigeait l'imprimerie à Bercy depuis 3 ans. Il obtient l'échange de son brevet pour Paris, Bercy en faisant désormais partie, le 16 février 1860.
29, rue du Commerce
Il fait faillite en 1863 avec un actif de 22 315 francs et un passif de 38254 francs.
22, rue Bourbon
Il est né le 1er octobre 1825 à Valence, d'un père cordonnier. Il est professeur d'écriture au collège de Tournon comme Forge, son précécesseur. Il a déjà un brevet pour Valence dont il n'a rien fait.
Il obytient un brevet d'imprimeur en lettres le 5 août 1869 qui va lui permettre de faire "des reports typo-lithographiques".
45, route de Toulouse
Il est photographe.
Il veut utiliser une presse autographe pour satiner les photographies.
12, Grande Rue
Il est né le 15 août 1822 à Montboissier (Eure-et-Loir). Son père était cafetier.
D'abord papetier et relieur, il fait la demande d'un brevet de libraire qu'il obtient le 12 juin 1851, après avoir essuyé un premier refus l'année précédente : les quatre autres libraires de la ville avaient protesté mais le Préfet les trouve peu instruits et revient sur sa décision. Avec sa presse lithographique, il peut faire des travaux de ville et , à partir de 1857, il demande un brevet d'imprimeur en lettres pour pouvoir acheter une presse mise au point par Dupont, de petite dimension, permettant d'utiliser des caractères mobiles par report. Malgré une longue correspondance administrative dans laquelle il explique qu'une telle presse ne peut servir qu'à faire des annonces et des prospectus, il ne réussit à obtenir qu'une autorisation limitée. Le 10 décembre 1872, il déclare commencer une véritable activité d'imprimeur en lettres.
Il est né le 9 septembre 1795 à Lille (Nord).
En 1838, il possède 8 presses, dont 4 presses lithographiques.
Son brevet est cédé à Danel-Bigo
Il est né le 6 novembre 1786 à Virieu (Isère). Il a été secrétaire de la sous-préfecture de La Tour-du-Pin pendant 9 ans, puis il a travaillé comme lithographe à Lyon
Son brevet avait d'abord été attribué pour La Guillotière le 5 juin 1828 et le Préfet accepte de libeller pour Lyon tant les deux villes se confondent. Le brevet est annulé lors de l'enquête de 1855, le commissaire n'ayant pu retrouver la trace de Pascal.
Il est né le 2 août 1849 à Saint-Étienne (Basses-Alpes).
Il est né à Niozelles (Basses-Alpes) le 14 juin 1844. Son père était tailleur d'habits. Il vit à Aix depuis 14 ans.
Il a racheté l'imprimerie Reinaud pour 1 500 F.
24, rue de la Rochefoucauld
Il est né le 22 février 1813 à Nîmes (Gard). Il est marié et père de famille.
Il était ouvrier lithographe dans l'atelier de son frère et possède une dizaine d'années d'expérience.
268, rue Saint-Denis 4, passage Brady (juin 1860)
Il est né le 22 juin 1810 à Alais (Gard) ; son père était commerçant. Il vit avec sa mère dans un logement dont le loyer est de 200F. Il a servi dans le Génie puis obtenu son congé comme fils aîné d'une veuve. Il a travaillé comme chef d'atelier chez Dupont.
3, rue du vieux chemin de Rome
Il est né le 28 mars 1848 à Marseille.
Il crée son imprimerie lithographique après le rachat du matériel de Lelli par la veuve Gravière.
Il est né le 19 septembre 1812 à poitiers ; son père était voiturier. Il est graveur sur métaux et veut faire de la taille-douce dont il vante, au passage la supériorité sur la lithographie. Il a travaillé chez plusieurs imprimeurs de Poitiers, mais aussi à Paris.
Il se promet de faire des travaux artistiques, mais aussi des cartes, des partitions, des plans ...qui se distingueront par leur soin et leur luxe. Son brevet est annulé en 1854 ; personne à Poitiers ne sait ce qu'il est devenu.
Il est né le 15 janvier 1800 à Saint-Médard-en-Jalles (Gironde) ; son père se dit homme d'affaires. Il a été ouvrier typographe pendant 16 ans.
Il a obtenu un brevet d'imprimeur en lettres le 5 mai 1832. Il désire un brevet de lithographe pour faire des travaux de ville. Il est le directeur du journal L'Union.
Il est né le 26 septembre 1814 de parents inconnus et abandonné à l'hospice de Bordeaux ; il ne sera reconnu qu'en 1844. Il s'est marié en 1847 et il a géré l'imprimerie lithographique des héritiers Jourjon.
Il avait demandé d'abord un brevet par création qui lui a été refusé. Devenu lithographe et papetier, il obtient un brevet de libraire le 30 mars 1857. Toutefois, il fait faillite et part pour Paris où il gagne sa vie en vendant "une poudre à nettoyer les meubles". Son brevet est annulé pour inexploitation en 1860.
13, rue des Marais Saint-Germain (chez son frère)
Il est né le 22 décembre 1801.
Il est breveté imprimeur lithographe en 1838 pour Romorantin, puis demande son transfert pour Paris et, en 1853, veut l'échanger à nouveau pour un titre identique à Romorantin. Le brevet est annulé pour cause d'inexploitation.
Il est né le 22 décembre 1801 à Savigny (Loir-et-Cher) ; son père était notaire. Il a travaillé pendant quatre ans chez un imprimeur de Vendôme.
Il a obtenu un brevet d'imprimeur en lettres le 6 août 1823, en remplacement du seul imprimeur de la ville. En 1826, il se plaint qu'il ne peut subsister avec son travail d'imprimeur et demande soit un bureau de loterie à Romorantin qui n'en a pas, soit le transfert de son brevet pour Paris, Tours ou Orléans. Sans succès. En 1837, il demande les brevets de libraire et lithographe pour Romorantin, qu'il obtient. En 1842, il demande le transfert de son brevet de lithographe pour Paris qui lui est accordé le 7 mai 1842 mais il ne va le retirer qu'en novembre. Il ne l'utilisera jamais. En 1853, il demande le transfert de son brevet de lithographe pour Romorantin et la création de brevets de typographe et libraire. Ces deux derniers lui sont refusés et le brevet de lithographe pour Paris n'ayant jamais été exploité est annulé.