Il est né le 17 janvier 1809 à Murat, d'un père officier de santé. Il est lui-même employé à la sous-préfecture.
Son brevet est annulé lors de l'enquête de 1859.
Il est né le 31 janvier 1815 à Péronne. Il est greffier de la mairie, mais il a été formé, affirme-t-il par Deprez.
Sa demande de transfert des brevets de Deprez, son parent, est soutenue par le député et un certain nombre de notabilités. Il obtient donc en même temps les trois brevets d'imprimeur en lettres, lithographe et libraire.
4 bis, rue Fontaine-au-Roi (1847) 18, rue Fontaine-au-Roi (1857)
Elle est née le 31 août 1811. Elle a de l'instruction et des connaissances étendues en imprimerie. On lui prête des moeurs légères sans qu'aucun fait précis n'ait pu être apporté à l'enquêteur. Son mari est mort le 6 septembre 1847, la laissant seule avec 4 enfants encore mineurs. Elle se remarie en 1853 avec un nommé Merché, chevalier de la Légion d'honneur.
Quand son mari meurt, la situation de l'imprimerie est encore très difficile. Il avait fait une première faillite en 1836 et avait honoré son concordat, mais il déménagea et fit construire un nouvel atelier et un pavillon d'habitation pour lesquels il s'endetta de 12 000 F. En décembre 1846, il demande à transmettre son brevet à sa femme (dont il s'était préalablement séparé de biens) pour raisons de santé disait-il, peut-être pour faire échapper le brevet aux demandes de ses nouveaux créanciers. À sa mort, ses 12 ouvriers font une démarche auprès de la Chambre des imprimeurs et de la direction de la Librairie pour que la veuve s'engage à leur payer leur salaire, dans le cas où le brevet de James Smlith lui serait transmis. Elle est brevetée imprimeur en lettres le 19 octobre 1847, succédant à son mari. Elle obtient en complément le 12 novembre 1847, les brevets de lithographe et de libraire. L'administration a jugé que cette décision permettrait à la fois de sauver la famille de la misère et de payer les 6 000 F d'arriérés de salaires dus au ouvriers. Ce qui est accompli en février 1848.
Il utilise une presse auptgraphique pour ses affaires commerciales.
24, rue du Marché
Il est né le 11 juin 1825 à Sainte-Marie-aux-Mines (Haut-Rhin) ; son père était organiste. Il a sept ans d'expérience comme écrivain lithographe et habite Gray depuis mars 1848 ; il a épousé la fille unique de l'imprimeur Steinmetz.
À la mort de son beau-père, il reprend son brevet de lithographe ; il est aussi papetier. En août 1877, il déclare ouvrir une librairie et dépôt de journaux.
Il est né à Coutances le 2 janvier 1813 ; son père était tisserand. Il a travaillé à Paris, mais il est revenu à Coutances où il enseigne le dessin au collège et à l'école gratuite.
47, rue de Paris
Elle est née à Matton (Ardennes) le 5 avril 1836. Elle a épousé un sergent fourrier employé au ministère de la Marine.
Elle est d'abord papetière, avant de déclarer acquérir une presse lithographique et une presse typographique. En apût d ela même année, elle déclare se faire aussi libraire.
23, passage Choiseul (1849)
Né le 15 novembre 1806 à Paris, son père était fondeur de caractères. Il a reçu en mariage une des jeunes filles dotées à l'occasion des fêtes de juillet 1834.
Tout d'abord garde national, il est breveté taille-doucier le 24 mai 1852. Il est spécialisé en cartes de visite et ouvrages de ville.
55, rue du Faubourg Saint-Antoine
Il est né le 27 novembre 1822 à Meung-sur-Loire (Loiret) ; son père était fabricant de papiers. Il est dessinateur.mp Il meurt le 27 janvier 1877 à Vincennes.
Il commence par copier des modèles de meubles destinés à des artisans ébénistes, et réunis en recueils, comme le Guide du fabricant de meubles, imprimé en 1854 par Plista pour le compte de Jansen, ou Sièges fantaisie et nouveautés (1860). Puis, à partir de 1862, il se fait éditeur d'un périodique, Le Magasin de meubles, ensemble de planches vendu par livraisons dont il réalise les dessins mais confie l'impression à divers lithographes, dont Becquet. L'obtention de son brevet d'imprimeur lithographe lui permet de poursuivre la publication de ces feuilles de modèles dont il assure désormais l'impression. Ces planches proposent des centaines de modèles de meubles, sièges et tentures "relevés d'après exécution et avec échelle dans les principaux ateliers du faubourg Saint-Antoine". Il propose aussi des modèles de Mobilier de l'église (1871) et de menuiserie d'architecture (Album de menuiserie d'architecture par les principaux architectes de Paris, 1873). Cette production s'adresse à des artisans qui ne peuvent prendre en charge la création et se contentent de l'exécution de meubles. Son fils Léon Victor Michel lui succède.
ed dessinateur pour meubles arrivé à paris en 1842 soupconné à tort d'avoir été blamquiste en 1848 homnye
121, rue du faubourg Saint-Antoine 55, rue du faubourg Saint-Antoine
Il est né le 19 janvier 1852 à Paris. Son père était dessinateur et breveté lithographe. Il a étudié l'architecture aux Beaux-Arts.
Il poursuit la publication du Magasin de meubles, Dessins de meubles, sièges et tentures, dont son père avait commencé la publication en 1862. Il complète la collection par des modèles de petits meubles d'appoint : jardinières, écrans, porte-fusils, consoles, psychés, pliants..., mêlant dessins nouveaux et anciens et continue à commercialiser les anciens numéros. Il imprime des catalogues commerciaux entièrement illustrés comme pour la Fabrique d'appareils pour le gaz et l'électricité Roussel (1888), la Manufacture de bronzes pour l'éclairage par l'électricité, les billards Lanois, les sièges de fantaisie Loitière... Il reçoit une médaille de bronze à l'Exposition universelle de 1887, dans la catégorie des "arts du dessin". Il est mis en liquidation judiciaire le 18 octobre 1892. Son fonds de dessins est vendu aux enchères le 8 mars 1893.
Rue Chartraine
Il est né le 25 mai 1846 à Évreux. Son père était huissier.
Il a travaillé cinq ans dans l'imprimerie typo-lithographique de son oncle, Charles François Canu qui n'avait pas de brevet. Après la loi de 1870, Canu lui vend son imprimerie et il fait sa déclaration d'activité.
Ouvrier imprimeur, il veut se mettre à son compte à partir du 1er janvier 1878, en pratiquant typographie et lithographie.
Il est né le 9 janvier 1831 à Rouffach (Haut-Rhin). Son père était négociant.
L'annulation du brevet de Thurner permet la création de celui de Quimfe.
8, place du Louvre (1849) 4, rue Croix des Petits Champs (1839) Passage Véro-Dodat 4, rue du faubourg Montmartre (1834) 6, rue du Coq Saint-Honoré (1840)
Il est né le 18 décembre 1807 à Ambleteuse (Pas-de-Calais) ; son père était musicien au 37e régiment d'infanterie, sa mère aubergiste. Inculpé en 1848, il est remis en liberté le 12 août.
Ouvrier lithographe depuis 8 ans dont 2 au service de Michel de Roissy, en 1831, il se dit inventeur d'un procédé pour l'impression en couleurs sur une seule pierre et veut concourir pour le prix de 2 000 F de la Société d'encouragement ; il a donc besoin d'une presse et, par suite, d'un brevet. En attendant, il reçoit conjointement avec Roissy une médaille de bronze pour ce procédé de lithographie en couleurs bien qu'il ne satisfasse pas complètement la Société. En 1854, il se proclame toujours "inventeur de la lithographie en couleurs dans ses publicités. La presse lithographique dont il dépose le brevet en 1834 donne selon lui des images plus pures avec une moindre fatigue pour l'ouvrier qui n'a que trois mouvements à faire. Les brevets suivants proposent des inventions concernant les presses et les papiers. À partir de 1853, les brevets qu'il prend portent sur la photographie et notamment sur les clichés stéréoscopiques ; il se déclare d'ailleurs photographe dans ses demandes, parfois chimiste. Les derniers brevets pris jusqu'en 1862 s'intéressent à la fabrication du caoutchouc et à ses utilisations. Le 10 mai 1838, est déclarée la société en commandite Quinet et cie, au capital de 155 000 F, dont une partie des actions peut être souscrite en payant en travaux lithographiques.
Rue de l'Aqueduc
Il veut faire des impressions photographiques.
23, rue Curiol (1866) 18, rue de la République (1879)
Il est né le 22 mai 1840 à Gréoux (Basses-Alpes). Son père était tailleur de pierres.
Il déclare, en avril 1879, qu'il devient imprimeur en lettres .