1, rue Nain
Il est né le 18 décembre 1816 à Lille où son père était marchand, devenu imprimeur.
Après avoir été imprimeur à Lille, il veut reprendre une activité en succédant à son beau-frère Hennion "par suite d'arrangements de famille". Après le brevet de lithographe, il obtient ensemble les brevets d'imprimeur en lettres et de libraire le 27 juin 1846. Il est le gérant du Journal de Roubaix. Il est condamné, en novembre 1867, pour avoir imprimé sans déclaration préalable des dépêches télégraphiques donnant des nouvelles politiques qui ont été affichées dans la vitrine de son magasin, mais aussi vendues par colportage par des enfants dans les cabarets et estaminets de la ville. Il sera encore condamné à des amendes dans les deux années suivantes car il s'affiche comme un journal conservateur catholique et politique. Il est aussi l'imprimeur de La Fauvette du Nord entre 1860 et 1862. Son fils Alfred lui succèdera en février 1872. Il a une production de travaux de ville lithographiés.
Il reprend le brevet de son père et obtient le 14 février 1846 son transfert pour Roubaix.
Il est né le 9 février 1812 à Lille ; son père était marchand, puis imprimeur. Il a travaillé dans l'imprimerie paternelle, mais aussi comme clerc de notaire.
Il a d'abord eu un brevet de lithographe pour Roubaix le 11 juin 1835. Le 20 novembre 1838, il obtient avec le transfert de son brevet de lithographe, un brevet de libraire pour Lille, mais l'administration lui refuse un brevet d'imprimeur en lettres en 1839.
Il est né à Lille le 1er février 1780 ; son père était marchand grossiste. Il est marié et père d'une nombreuse famille.
Il a obtenu son brevet d'imprimeur typographe le 16 octobre 1820 qui lui permet d'exploiter l'imprimerie de Marlier, imprimeur du Roi, qu'il a reprise ; le brevet de libraire lui est refusé en 1826, mais il est très soutenu politiquement et l'obtient le 11 décembre 1828. En effet, il a été le propriétaire du Journal du département du Nord, antagoniste de L'Echo du Nord de Leleu, jugé "dangereux". N'a-t-il pas comme épitaphe jusqu'en 1829 : "Entre les Bourbon et nous, c'est à la vie, à la mort" ? Il a aussi dirigé La Boussole, aux opinions légitimistes, "mais depuis que son journal a cessé de paraître, [à la suite d'une condamnation en 1833] il ne s'occupe plus de politique" note le Préfet en 1834. L'état de 1838 lui attribue deux presses. Il laisse son brevet de libraire à son fils Édouard, ses brevets de lithographe et de typographe à son fils Jean-Baptiste.
276, rue Saint-Denis (juin 1852)
Il est né le 9 novembre 1815 à Rennes (Ille-et-Vilaine). Son père était tapissier. Célibataire, il vit avec ses parents qui arrivent de Madrid et sont désormais coloristes.
Sa candidature est soutenue par le député Jollivet. Soumis au test d'aptitude, il écrit : "Vous désirez vous assurer si c'est moi qui ai rédigé la pétition par laquelle je demande un brevet d'imprimeur. Vous pouvez, Monsieur, en avoir l'assurance et confronter les écritures vous verrez qu'elles sont de la même main".
Né le 21 juillet 1818 à Rodez (Aveyron). Son père était fabricant.
Il a été commis de librairie et relieur avant d’obtenir son brevet de libraire le 8 avril 1842. Quatre jours après avoir obtenu son premier brevet de lithographe, son atelier de reliure et sa librairie sont ravagés par un incendie ; il est forcé d’aller chercher à Paris des moyens de subsistance et ne peut exploiter son brevet de lithographe. Il revient à Rodez avec des fonds pour acheter du matériel et un associé qui a mis 3 000 F dans la société. Il obtient un nouveau brevet de lithographe le 6 février 1860 mais semble n’avoir jamais exercé. L'enquête statistique de 1877 note qu'il est seulement relieur.
37, rue Michel-le-Comte (1837)
Il est né le 19 décembre 1796 à Neufchâteau (Vosges). Son père était maçon. L'orthographe de son nom hésite entre Recouvreux et Recouvreu.
Il imprime des feuilles d'éventail. Il s'associe à Deiffel avant de lui céder son brevet et se retire à Meung (Loiret).
85, rue Saint-Denis
Il est né à Bacouel (Oise). Il est écrivain et lithographe.
Il a été condamné à 50 F d'amende pour défaut de dépôt d'une feuille intitulée Bambocheurs à pied.
32, quai Saint-Antoine (1858)
Il est né à Sainte-Marie-aux-Mines (Haut-Rhin) le 1er novembre 1824. Il a 22 ans d'expérience de la lithographie, ayant travaillé à Rive-de-Gier et (peut-être) à Sainte-Marie-aux-Mines où il a été breveté.
Né le 1er novembre 1824 à Sainte-Marie-aux-Mines. Son père est menuisier. Il demeure en 1858 à Rive-de-Gier (Loire). Il se dit graveur et écrivain lithographe.
La création de son brevet est justifiée par la présence de plus de 60 établisements industriels dans la commune. Toutefois, en 1860, mis en demeure d'exploiter son brevet, il n'en manifeste pas l'intention ; d'ailleurs il n'a pas de domicile à Sainte-Marie-aux-Mines. Le brevet est annulé.
Il est le directeur des Écoles chrétiennes de Mâcon.
Il a acquis une presse autographique.
Il est né à Mantes le 27 mai 1811 ; ses parents étaient imprimeurs libraires et papetiers. Il est marié et père de deux filles. Il meurt le 23 décembre 1851.
Il reprend les trois brevets de sa mère et se démet de celui de libraire le 26 mai 1851. À sa mort, les deux autres brevets seront repris par sa veuve.
16, rue de la Barre
Il est né à Ornex (Ain) le 22 septembre 1835 ; son père était instituteur. Il est ouvrier imprimeur.
Il est condamné à 200 F d'amende pour excitation à la haine et au mépris du gouvernement, le 26 novembre 1868. Il est encore condamné le 29 juin 1869 à 50 F d'amende pour un défaut de déclaration. En 1873, Célestin Riotor prend sa suite.
21, rue de l'Arbalète
Il est né le 9 décembre 1794 à Bourg-de-Liesse (Aisne) ; son père était marchand orfèvre. Il est apprenti, puis compositeur chez Lebatard à Reims.
Il rachète l'imprimerie de son patron et ses brevets de libraire et d'imprimeur en lettres qu'il reçoit le 1er août 1821. Il demande un brevet de lithographe car la lithographie lui enlève toute la clientèle de la typographie pour les travaux de ville.
Il est né le 20 septembre 1822 à Reims ; son père était imprimeur. Il s'est formé dans l'imprimerie paternelle.
Son père lui fait donation, à l'occasion de son mariage en janvier 1847, de l'imprimerie et de ses trois brevets ; le tout est estimé à 50 000 F. Sa condamnation, le 18 août 1849, à une amende de 2 000 F pour défaut de dépôt d'un cahier de chansons vendu par colportage, désole le Préfet car c'est un imprimeur des plus respectueux des règlements et la faute incombe à un ouvrier alors que son patron venait d'être frappé "d'un malheur de famille" ; l'amende est réduite à 200 F.
Il est né le 24 février 1807 à Nîmes (Gard). Son père était monteur de métiers à fabriquer les bas. Il a travaillé dix ans comme dessinateur de broderies et s'est mis à son compte depuis deux ans.
Il souhaite disposer d'une presse lithographique pour reproduire les broderies pour la toilette qu'il dessine et commercialise. La lithographie est un procédé plus rapide et moins coûteux que le liège gravé qu'il utilise.
4, rue de Bretagne 8, passage Sainte-Marie faubourg Saint-Germain (1855)
Il est né le 3 juin 1818 à Paris ; père était rentier. Il est marié et père de famille. Il est employé au ministère de la Guerre, pour un salaire de 1 200 F en 1840.
Artiste peintre et dessinateur en géographie de formation, il obtient son brevet en échange de celui qu'il avait depuis le 14 février 1846 aux Batignolles où il ne l'a jamais exploité. Toutefois, "son brevet n'est pas sa principale ressource". Son atelier est installé chez son oncle compositeur à l'Imprimerie Nationale. Il vient de prendre un brevet d'invention pour un diorama miniature dont le décor est lithographié. Associé à Dourdet, il grave longtemps des plans et cartes géographiques que Gratia, parent de Dourdet, imprime ; certaines sont gravées pour le compte du Dépôt de la Guerre avec qui travaille Gratia. Dans les années 1860, ils signent leurs cartes Autographie Régnier et Dourdet avec la même adresse de l'impasse Sainte-Marie, qui est celle aussi de Gratia. Son brevet est annulé en 1856 pour cause d'inexploitation.
7, rue Cretet (1870) 20, rue Saint-André
Il est né le 14 mars 1834 à Ménessaire (Côte-d'or). Son père était maréchal-ferrant et sa mère journalière. Il est marié et père de famille ; sa femme est d'une famille jugée "aisée" et il possède 4 000 F d'économies, selon le préfet de Police. L'inspecteur de la Librairie Jean de la Rocca juge pourtant que ses ressources sont insuffisantes pour s'établir.
Il a été ouvrier lithographe chez Monchény.
Il est né le 21 janvier 1790 à Paris ; son père était chapelier. Lui-même, aux dires de sa belle-soeur, semble avoir exercé le même métier avant de venir à Senlis auprès de son beau-frère Tremblay.
Il fait une demande de brevet de libraire en 1824, mais elle est repousée à cause de poursuites engagées contre lui par erreur ; il l'obtient finalement le 15 avril 1828. A la mort de Tremblay, il demande à reprendre son imprimerie et son brevet d'imprimeur en lettres. Après un long et sordide conflit avec Marguerite Barbot, la veuve de Tremblay, il obtient son brevet le 7 septembre 1830 en tant que tuteur du fils mineur de Tremblay. Celui-ci, à sa majorité, renonce au brevet, le 12 février 1836, et Regnier en devient titulaire à titre personnel. A sa mort, en 1860, sa veuve reprend ses brevets.
25, rue du Faubourg Saint-Martin (décembre 1865) 187, rue du Temple (octobre 1864) 43, rue du Colisée (1861) 39, cour Saint-Philippe-du-Roule (août 1859) adresse temporaire 24, rue du Colisée (octobre 1858) 182,rue du faubourg Saint-Honoré (1854)
Il est né le 31 juillet 1824 à Villeneuve-la-Guyard (Yonne). Il est marié et père de famille. Il a été artilleur au 4e régiment d'artillerie.
Il dirige depuis 3 ans l'imprimerie de son frère qui se désiste en sa faveur .
5, passage Tivoli
Il est né le 13 septembre 1820 à Villeneuve-la-Guyard (Yonne). Son père était officier de santé. Il est marié et père de famille. Il est installé marchand épicier, passage Tivoli, dans une maison dont il est l'unique locataire pour un loyer de 4 200 F.
À la mort de son frère Henri, il a repris son brevet en attendant que son frère Auguste, lithographe, revienne du service militaire ; l'inspecteur Gaillard s'était opposé en vain à ce transfert, soutenant que le brevet n'avait plus de valeur (la première demande de transfert datée d'août 1849 était perdue) et que Gabriel Regnoul n'avait aucune compétence ; l'avis favorable du préfet de Police l'avait emporté. Gabriel s'associe en 1852 avec son frère Auguste qui dirige l'imprimerie. Il est condamné, le 14 février 1852, à une amende de 2 000 F, pour absence de déclaration et de dépôt d'un écrit, Récentes évolutions de la nation française, qui, " malgré son titre, n'a aucune portée politique dangereuse"; l'amende est ramenée à 200 F.
Il est né le 3 octobre 1827 à Villeneuve-la-Guyard dans l'Yonne. Son père était officier de santé. Il est célibataire. Il est écrivain lithographe depuis quelques années. Il meurt le 19 avril 1849.
Écrivain lithographe, il était associé avec Delabarussias. Il a été émancipé par son père et il dépose sa demande de brevet le 25 décembre 1847. Il est déjà installé dans un atelier au loyer de 700 F quand son brevet est enfin signé. Quand il meurt, son frère Auguste est au service militaire, c'est donc son frère Gabriel qui demande le transfert du brevet en août 1849, avec l'accord de son père, héritier d'Henri, daté du 13 mai. Aucune suite n'est donnée immédiatement à cette demande.
Il est secrétaire de la mairie d'Anor.
En 1868, il a mis sa librairie au nom de sa femme Sidonie Daubrecies. En 1877, il déclare une activité d elibraire et d'imprimeur typo-lithographique, déplaçant la librairie à Fourmies. Il est le propriétaire du Courrier de l'arrondissement d'Avesnes, journal industriel, commercial, scientifique, littéraire et d'annonces diverses qui paraît depuis le 29 octobre 1876.
41, rue Saint-Rémi
Il est né à Bordeaux le 17 mars 1821 ; son père était raffineur.
Il obtient d'abord un brevet de libraire le 21 septembre 1854 dont il se démettra le 15 juillet 1859. Il imprime des étiquettes (Chocolat Aux armes impériales, 1863 ; Aÿ mousseux Marquis d'Agos, 1861).
Il est né le 17 mars 1821 à Bordeaux ; son père était raffineur. Il est écrivain lithographe.
Il a obtenu le 8 juillet 1842 un brevet pour Périgueux, mais, n'y réussissant pas, il demande son transfert pour Bordeaux.
Il est né le 6 novembre 1803 à Montesquiou (Gers).
Il est parti s'installer en Espagne en 1841 et son brevet est annulé en 1860.
Il est né à Aix le 6 février 1806. Son père était graveur. Il reprend le brevet et l'imprimerie de son frère qui est mort célibataire le 2 mars 1868.
Il est né à Aix en 1795. Il est graveur comme son père et ses deux frères.
Sa première demande de brevet de lithographe, en 1827, avait été rejetée. Pour la seconde, il a réuni les recommandations du maire, du sous-préfet, du recteur, des vicaires généraux et d'un pair de France. Il justifie sa demande par la concurrence que fait la lithographie à la gravure grâce à sa rapidité d'exécution et son moindre coût. Il fait des travaux de ville.
Il est né le 9 février 1803 à Neufbrisach (Haut-Rhin) ; son père était cordonnier. Il a travaillé comme lithographe pour divers employeurs parisiens dont le Dépôt général de la Guerre. Gendre du percepteur de Plombières, il dit que c'est la révolution de 1848 qui l'a poussé à se rapprocher de sa famille et rejoindre celle de sa femme.
Il demande le transfert de son brevet pour Paris, obtenu le 18 octobre 1842, et s'installe à Plombières, comptant sur la clientèle liée au tourisme. Il quitte Plombières en janvier 1854 et retourne à Paris ; on dit qu'il est dorénavant employé à l'Imprimerie impériale. Son brevet sera annulé en 1860.
Elle est née le 29 novembre 1775 à Turckheim (Haut-Rhin) ; son père était avocat. Elle a épousé l'imprimeur Hoffmann qui meurt le 4 août 1830, la laissant avec des enfants mineurs.
Elle obtient le transfert du brevet d'imprimeur en lettres de son mari le 25 novembre 1830, puis demande un brevet de lithographe et poursuit l'importante activité de son imprimerie, au service notamment des tribunaux.
Il est né à Marseille le 30 septembre 1779. Son père était charpentier. Il est dessinateur et peintre. Ses opinions sont jugées libérales, mais modérées.Son brevet est annulé en 1860 pour inexploitation.
49, rue Mercière, Lyon
Il est né le 20 janvier 1800 à Saint-Appolinard (Loire). Il a été militaire pendant 9 ans, mais a été réformé en mai 1831, à la suite d'une mauvaise fracture du bras gauche due à une chute dans un précipice, alors qu'il était en opération en Espagne. Il est graveur et ajoute la lithographie à son atelier qui emploie 7 ouvriers.
Après avoir abandonné son activité de lithographe, il semble avoir travaillé comme mécanicien d'imprimerie. Le brevet pour la réglure est pris en association avec Jean-Baptiste Constant-Chantpie. En 1841, quand il prend un nouveau brevet qu'il cède rapidement, il se déclare mécanicien ; en 1843, il se déclare à nouveau imprimeur. Il est condamné en 1846 pour impression de faux timbres à 10 ans de réclusion.
Né le 14 décembre 1816, à Paris. "A force de travail et d'économie, il est parvenu enfin à posséder un petit avoir à l'âge de 38 ans. Il est marié et père de famille, homme d'ordre par nature et d'une conduite toujours droite, toujours irréprochable."
Il a travaillé comme typographe à Paris, pendant plus de vingt ans, 16 rue Suger chez Didot, puis chez Panckoucke et au magasin de Lorilleux. Il a demandé et obtient trois brevets en même temps : imprimeur en lettres, lithographe et libraire (il veut tenir une petite librairie de littérature religieuse et classique). L'enquête statistique de 1872 note que le brevet de lithographe est inexploité faute d'ouvrage.
32, rue de la Fontaine-au-Roi
Malade, il cède son brevet à son beau-frère.
28, rue de Chalon
Il est né le 17 mars 1848.
Il est né à Châlons-sur-Marne (Marne) le 8 juin 1789. Il a servi dans l'infanterie de 1808 à son licenciement en 1815 et il a fait les campagnes d'Espagne et du Portugal. Revenu à la vie civile, il a travaillé 4 ans chez Berdalle de la Pommeraye à Paris.
Après avoir exercé de 1828 à 1833 à Reims, il redemande un brevet pour Aÿ, cette fois. En 1861, son brevet est annulé car il est mort et sa famille ne souhaite pas reprendre son activité.
Il est né à Châlons-sur-Marne (Marne). Il a fait les campagnes napoléoniennes de 1808 à 1815, notamment en Espagne et au Portugal. Revenu à la vie civile, il a travaillé à Paris chez Berdalle de la Pommeraye pendant 4 ans.
Il demande un brevet de lithographe pour Reims, soutenu par le conseiller d'Etat Laboulaye qui est aussi maire d'Aÿ. Il l'emporte ainsi sur un autre candidat papetier à Reims.
22, rue du Château d'eau (1860)
Il est né le 25 avril 1825 à Paris. Il est marié. Il est employé de bureau au journal L'Industrie comme chef de départ.
Il a d'abord demandé à reprendre le brevet de Painlevé, mais il avait été annulé.
Il est né à Morez le 14 avril 1820 ; son père était commis négociant. Il est d'abord géomètre et sous-agent voyer, mais il doit abandonner cet emploi pour raisons de santé et choisit la lithographie.
Pour étayer sa propre demande, Depierre soutient que Renaud n'utilise son brevet de lithographe que dans son activité d'émailleur.
15, rue du Taureau
Il est né le 26 décembre 1836 à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire).
Il est typographe et lithographe. Il pratique aussi la phototypie.
29, cours Morand
Il est né à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire) le 26 décembre 1836.
Il pratique lithographie, typographie et phototypie.
Né le 6 mars 1830 à Orléans, c'est un enfant naturel, né dans une famille de vignerons.
Il est d’abord ouvrier typographe à Paris, puis chef d’atelier et lithographe. Il reçoit le même jour les 3 brevets (libraire, imprimeur en lettres et lithographe) de Demimuid, démissionnaire. Il est l'imprimeur-gérant de L'Écho de l'Aisne.
48, rue Ferrandière
Il est né à Saint-Étienne (Loire) le 16 avril 1846.
Il remplace sa femme, Marie Emma Cecillon, veuve Buisson.
Il est né à Nevers le 19 juin 1828 ; son père était imprimeur. Il travaillait sous le brevet de son père depuis 1847 quand il est parti faire son service, puis, de septembre 1854 à juin 1856, il a servi en Crimée et il était, notamment, à Sebastopol.
Quand l'administration constate que le brevet au nom de son père n'est plus exploité et menace de l'annuler, Louis Renault proteste que son fils se trouve à Varna, servant dans le 74e de ligne, et qu'il est juste que le brevet lui soit conservé. L'administration accepte d'attendre que Charles Renault puisse succéder à son père. A son retour, il constate que l'imprimerie a perdu une partie de sa clientèle et il demande unn brevet de libraire pour dynamiser ses affaires. Il l'obtient le 28 février 1861, mais s'en démet le 18 juillet 1865.
Il est né à Pougues (Nièvre) le 13 février 1799 ; son père était vigneron. Il est écrivain lithographe. Il a trois fils qui, autour de 1854, sont militaires, soit qu'ils fassent leur service soit qu'ils se soient engagés.
Il travaille avec son fils aîné à qui laissera son brevet.
Il est né à Paris le 14 mai 1840. Il a d'abord été sous-inspecteur des douanes. Il est le gendre de
Il reprend les activités de son beau-père, notamment l'impression du Journal d'Alençon.
5, rue de l'Église
Il a racheté la librairie imprimerie de Gautrin.
Il est né le 12 novembre 1803 à Besançon où son père était papetier.
Il poursuit l'activité de papeterie et s'adjoint la lithographie.
25, rue de l'Hopital (1854)
Il est né à Rouen le 21 février 1820 ; son père était tonnelier. Il a été matelot, puis typographe. Il est mort le 16 août 1867.
Il a repris les brevets d'imprimeur en lettres et de lithographe de Moget, et acquis en 1852 Le Messager de Rouen. "Ayant fait des dépenses assez considérables auxquelles il ne lui était pas possible de faire face, il se trouva dans la nécessité de s'adjoindre un associé". C'est Couriot à qui il cède son brevet en 1857. Quand celui-ci décide de se retirer, Renaux reprend son brevet le 1er septembre 1858 et cherche un nouvel associé. Giroux met comme condition de prendre le brevet d'imprimeur en lettres alors que Couriot s'était contenté de celui de lithographe. Renaux ne possède donc plus que son brevet de lithographe que Giroux récupère en 1869, après avoir épousé la veuve de Renaux.
Il est né le 21 février 1820 à Rouen. Breveté imprimeur en lettres et lithographe, il a dû, à cause de difficultés financières prendre un associé, Couriot, à qui il a dû céder son brevet de lithographe.
Couriot se retirant de l'association, il trouve en Giroux un nouvel associé qui exige qu'il cède son brevet d'imprimeur en lettres. Quand il meurt en 1867, Giroux reste dans l'entreprise, épouse sa veuve et se porte acquéreur de son brevet de lithographe.