14-16, rue de la Monnaie (1871)
Elle est née à Villefargeau (Nièvre) le 1er février 1832. Elle a épousé l'imprimeur Charles Cégrétin avec qui elle a eu six enfants. À sa mort, elle a deux fils de 15 et 18 ans.
Elle prend la direction de l'imprimerie que possédait son mari et conserve ses activités de typographe, lithographe et libraire. Elle rachète l'imprimerie lithographique de Louis Morin le 30 novembre 1874.
Il est né à Saint-Parre-lès-Vaudes (Aube) ; sonpère est un capitaine en retraite, décoré de la Légion d'honneur. C'est un ancien fabricant de pointes, maître de tréfilerie à Voulaines. Il meurt le 24 mars 1858.
Il a d'abord obtenu un brevet d'imprimeur en lettres le 30 juin 1854, puis de libraire le 20 janvier 1855. Il a une petite production de brochures et livres divers. À sa mort, sa veuve reprend l'imprimerie.
27, rue Lamartine (1858)
Il est né le 8 février 1826 à Paris. Il est marié et père de famille.
Il est d'abord fabricant de tissus dans un local pour lequel il paie 20 000 F de loyer. Il veut faire des impressions sur tissus.
Il est né le 10 août 1808 à Albi où son père était imprimeur.
Il dirige depuis 1831 l'imprimerie de son père et lui succède quand celui-ci meurt en juin 1833. Il publie la feuille d'annonces locale. Il est condamné en juillet 1849 à 2 000 F d'amende pour défaut de déclaration d'un recueil de chansons dont l'une a pour refrain : "Vive Ledru-Rollin", et, en juillet 1857 pour avoir imprimé sans autorisation épiscopale un Paroissien d'Albi qui est saisi.
59, rue de Grenelle Saint-Germain
Il est né le 5 mars 1780 à Paris. Son père est peintre et restaurateur de tableaux ; son beau-père et sa belle-mère sont morts sur l'échafaud pendant la Terreur. Il est marié et père de 5 enfants, dont l'aîné est peintre et travaille avec lui. Peintre de batailles exposant régulièrement au Salon, il connaît assez vite le succès, notamment avec sa Bataille d'Eylau (1810) ; ses tableaux sont souvent reproduits par la gravure. Il se tourne ensuite vers les portraits et les scènes de genre. Il est chevalier de la Légion d'honneur. Il meurt en 1867, laissant une grande collection de peintures, dessins et estampes.
Il a donné une série, les Nouveaux cris de Paris, dessinés d'après nature et exécutés d'après les procédés lithographiques de G. Engelmann dès 1817, puis des dessins pour la Galerie des militaires français qui, à différentes époques, se sont distingués..., imprimée par Engelmann en 1818-1819. Il commence la publication d'une Galerie des portraits des membres de la chambre des Pairs en 1828-1829. Bichebois qui a été breveté pour Saint-Denis le 1er août 1829 après avoir demandé en vain un brevet pour Paris, utilise ses services pour la fourniture de dessins, mais aussi pour l'impression. Roehn lui abandonne rapidement son brevet et se consacre à la peinture et à l'expertise.
Il est né le 20 mars 1812 à Marseille (Bouches-du-Rhône) ; son père était secrétaire à la Préfecture. Il a travaillé comme secrétaire du préfet de la Lozère et l'a suivi quand il s'est installé à la préfecture du Gers. Il y travaille à la rédaction d'articles du Journal du Gers, tout en étant secrétaire particulier du Préfet.
Il rachète l'imprimerie Duprat, un établissement séculaire qui imprimait ce Journal et en partageait avec lui la rédaction. Il fait valoir que sa fréquentation du marbre lui a donné les compétences nécessaires à la direction d'une imprimerie et obtient son brevet d'imprimeur en lettres le 11 juin 1835. Il poursuit l'impression du Journal politique du Gers. Sa demande d'un brevet de lithographe est justifiée par les 800 F qu'il a obtenus du Conseil général du Gers pour imprimer une carte routière cantonale.
7, rue Richer (1838)
Il est né le 20 février 1792 à La Ferté-sous-Jouarre (Seine-et-Marne). Son père était marchand. Il est marié et père de famille.
Il est associé à Adrien et a acheté son imprimerie.
14, rue du peintre Lebrun
Ils éditent une correspondance autographique, La Correspondance française. Ils étaient installés à Paris, au 13, rue Bonaparte, et déménagent à Versailles.
Elle est née le 11 avril 1839.
Elle remplace son père comme libraire, typographe et lithographe.
Il est prieur de la chartreuse de Sélignat.
Il utilise une presse autographique.
59, rue de Grenelle Saint-Germain (1845) 116, rue du Bac (1865)
Il est né le 9 mars 1817 à Méru dans l'Oise. Son père était tailleur d'habits. Il a travaillé une dizaine d'années chez Lemercier.
Il est fabricant d'encres lithographiques. Il veut une presse lithographique pour pouvoir tester les encres qu'il fabrique et vend.
Il est né le 1er novembre 1795 à Châteaurenard dans le Loiret. Il a été 10 ans préfet à Mantes-sur-Seine. Il est chevalier de la Légion d'honneur
Il possède des capitaux qu'il veut investir dans une entreprise industrielle. Son brevet est annulé pour inexploitation.
Il est né le 3 mars 1803 à Turquant (Maine-et-Loire). Il a d'abord été instituteur, puis employé à la sous-préfecture.
Après avoir cédé l'imprimerie de Saumur, il sollicite un brevet pour Ancenis avant d'y renoncer, puis, en 1839, pour Paimboeuf : il lui est refusé. Il fait donc une demande pour Segré et obtient un brevet de typograpghe le 28 janvier 1840, puis de lithographe.
Il est né le 3 mars 1803 à Turquant (Maine et Loire). Il a été instituteur, puis employé à la sous-préfecture.
Après son brevet de lithographe, il obtient le 18 décembre 1835 un brevet d'imprimeur en lettres. Ses deux associés l'obligent à vendre son imprimerie à Roberdeau, mais il ne lui transfère pas son brevet de lithographe et cherche à s'installer à Ancenis puis à Paimboeuf. C'est finalement à Segré qu'il obtient de nouveaux bevets.
Il est né le 31 octobre 1825 à Neuillé (Maine-et-Loire). Il est le fils de l'imprimeur Charles Amand Roland. Il a été compositeur à l'imprimerie du journal Le Siècle.
Il a fait une première demande de brevet d'imprimeur en lettres en 1847, mais elle a été repoussée car elle a semblé un façon déguisée de rétablir son père à Saumur et les concurrents n'ont pas manqué de protester devant cette concurrence. En 1848, il participe à la journée du 24 février, à la prise du Palais Royal et du poste du Château d'eau. Pour soutenir sa demande de brevet de typographe, il annonce son intention de créer un journal républicain ; il obtient le brevet le 1er mai 1848. Il obtiendra aussi un brevet de libraire le 17 mai 1852.
14, rue Le Regrattier
Il est né le 16 juillet 1834 à Saumur (Maine-et-Loire). Son père était employé à la sous-préfecture puis imprimeur à Segré. Il est marié. Il est à Paris depuis trois ans et travaille comme compositeur.
108, rue de la Rochelle (1835) 4, rue Voltaire / 21 bis rue de la Rochelle (1849)
Il est né à Commercy (Meuse) le 11 janvier 1803 ; son père était marchand. Il s'est formé chez son oncle l'imprimeur Choppin dont il dirige l'entreprise depuis 1829.
En 1830, il demande à ajouter une presse lithographique dans l'imprimerie de son oncle ; son confrère Gigault proteste. La demande n'ayant pas été faite dans les règles, l'affaire n'a pas de suite immédiate. Choppin décide de démissionner en faveur de son neveu qui obtient donc ensemble les brevets d'imprimeur en lettres et de lithographe. Il est le grand imprimeur de Bar-le-Duc, avec la clientèle du Conseil général, de la Préfecture, de la municipalité. Il imprime Le Courrier de la Meuse (1834-?), devenu L'Écho de l'Est, Le bon maître, journal d'instruction et d'éducation populaire. Il emploie 30 ouvriers en 1854. En avril 1854, le Préfet conte au ministre sa visite chez l'imprimeur : « J’ai vu fonctionner une presse lithographique mécanique mue par la vapeur qui tire jusqu’à 12 feuilles par minute, soit 720 feuilles à l’heure [...] Numa Rolin à l’aide d’importantes modifications a rendu d’une application pratique le procédé de M. Salomon". Ce témoignage montre le dynamisme de l'imprimeur qui achète deux nouvelles presses en 1856 qui viennent s'ajouter aux 6 déjà en service. Toutefois, il ne prendra pas de brevet d'invention pour l'amélioration apportée au modèle de presse mécanique déposé par Hippolyte Salomon en 1850. Il fait des travaux commerciaux et d eluxe. Son Atlas illustré, statistique et historique contient des lithographies de Malapeau. À sa mort, en 1872, sa veuve lui succède en société avec Chuquet et cie.
6, rue de la Poissonnerie
Il est né à Châtillon-sur-Indre (Indre) le 17 novembre 1851. Il est associé avec Eugène Désiré Guespin, né le 12 juin 1853 à Tours (Indre-et-Loire)
La lithographie doit leur servir à la fabrication d'articles de papeterie.
17, Grand'Place
Il est né à Lille le 21 juin 1819 ; son père était marchand. Il a travaillé longtemps à Lille comme ouvrier lithographe.
Il a demandé un brevet pour Dunkerque qu'il a obtenu le 6 juin 1845. A la suite de la mort de son père, il demande le transfert de son brevet pour Lille. En 1854, l'enquête administrative sur les lithographes brevetés rapporte qu'il n'exploite plus son brevet et qu'il n'a même jamais été connu à Lille. En réalité, il habite Wazemmes, faubourg de Lille, et, dans son atelier, le commissaire peut constater que ses deux presses fonctionnent et consulter les états de ses travaux pour la Maison centrale de Loos. La décision d'annulation du brevet est donc rapportée le 15 décembre 1855.
Il remplace le Sieur Leclerc démissionnaire.
10, rue Saint-Nizier
Il est né le 30 novembre 1838 à Mâcon. Son père Pierre Joseph Désiré Romand était imprimeur lithographe et typographe.
À la mort de son père, le 10 juin 1872, il reprend l'imprimerie avec son frère Paul, né le 14 juin 1836. L'imprimerie, au moment de la déclaration en 1877, a pour raison sociale "Paul et Émile Romand frères". Toutefois, le 21 mai 1879, Émile déclare être dorénavant seul à la direction de l'entreprise.
27 bis, rue Corbeau (1880)
La société Romanet et cie a pour sous-titre Association d'ouvriers lithographes (1879).
Rue du Cloître
Il est avoué à Laon.
Il a un usage professionnel d'une presse autographique.
rue du Cherche midi, 60
Né le 14 novembre 1821.
4, rue de la rue Sorbonne (1845)
Il est né le 1er janvier 1823 à Paris ; son père était cuisinier. Le rapport de 1846 le crédite d'un caractère "léger". Il est mortellement blessé le 23 février 1848 lors d'une manifestation et meurt le 12 mars suivant. Il s'était marié le 21 août 1845, et sa veuve sollicite une pension. Le rapport de police de 1851 note que son mari "ne s'était jeté dans le parti révolutionnaire que par suite de mauvaises affaires et après avoir dissipé la dot de sa femme qui jouit d'une bonne réputation." L'argument porte et elle obtient cette pension qui sera néanmoins supprimée en 1858.
Il a travaillé tout d'abord dans un établissement dirigé par des Jésuites comme écrivain lithographe, puis 3 ans chez Castille et 2 ans chez Lemercier. Son brevet a été annulé en 1852.
Il est instituteur à Collonges.
Il est né le 21 juillet 1814 à Meslay-le-vidame (Eure-et-Loir) ; son père était instituteur. Il vit depuis huit ans à Orléans où il est employé à la Recette générale.
Il a inventé une machine autographique qui peut faire 60 exemplaires par heure et veut l'exploiter. En 1839, il demande le transfert de son brevet pour Saint-Lô en invoquant des raisons de famille. Il ne l'obtient pas. En 1862, son brevet est annulé car il est décédé.
Rue du Centre / Rue Neuve
Jean Ronco est né à Turin (Italie) le 3 mars 1852. Comme Pierre André Fillon , il est ouvrier typographe.
Ils s'associent pour créer une imprimerie typo-lithographique.
Elle est née le 23 février 1803 aux Sables d'Olonne (Vendée) ; son père était marchand. Elle a épousé l'imprimeur de La Roche-sur-Yon, Yvonnet. Elle a deux fils.
À la mort de son mari, elle reprend la direction de l'imprimerie et ses trois brevets. À sa mort, son fils Eugène lui succède.
27, rue de la Cerisaie (1871)
Né le 17 avril 1820 à Paris.
Il est breveté à Paris puis à St Maur les Fossés. Il est également breveté typographe et taille-doucier en 1879.
Place du Bon Pasteur
Il est né le 17 novembre 1822 à Torsac (Charente) ; son père était cultivateur. Il a épousé la fille d'une libraire chez qui il travaille avant de lui succéder et de reprendre son brevet le 22 juin 1860.
Il a acheté le matériel de Roussel mais celui-ci garde son brevet pour l'impression sur fer blanc. Il demande donc un brevet par création puisque aucun autre confrère ne veut lui céder le sien. Il emploie une quinzaine de personnes.
37, montée du Gourguillon
Il est né le 2 mars 1800 à Saint-Christophe (Allier). Il a été maître d'écriture à Mauriac (Cantal), puis il a dirigé l'école mutuelle de Moulins, mais il a été révoqué pour "négligence et défaut de caractère, mais nullement pour inconduite et immoralité"
Il était titulaire d'un brevet accordé le 13 mai 1830 pour Mauriac.
3, rue Bayard
Il remplace le typographe Le Laurin et s'adjoint la lithographie.
Il est né à Saint-Astier (Dordogne) où ses parents sont propriétaires. Il a une formation de lithographe et semble avoir travaillé à Marseille
Son dossier note en 1876 qu'il a cessé d'exercer .
45, rue Sainte-Catherine (1872) 33, rue Bonafoux (1882)
Il est né à Bordeaux le 2 mars 1833 ; son père était journalier. En 1869, il a déjà 23 ans de pratique de la lithographie .
En mars 1872, il déclare avec son associé Gouillaud s'adjoindre la typographie. Ils se séparent en 1873.
Il est né à Toulouse (Haute-Garonne) le 27 janvier 1826 ; son père était propriétaire. Il est graveur.
Il grave en taille-douce des cartes et dessins de broderie, mais la lithographie, "24 fois plus rapide", lui fait une trop forte concurrence. Il régularise donc sa situation pour la taille douce avec un brevet obtenu le 31 juillet 1856 et demande un brevet de lithographe par création. Il ne l'obtiendra qu'en 1867, quand un nouveau recensement fera apparaître la croissance rapide de la population bordelaise et la nécessité d'augmenter le nombre des lithographes.
Il est né à Saint-Rigomer-des-Bois (Sarthe) le 26 juillet 1813. Son père était sabotier. Il a été caissier chez le notaire de Longjumeau, puis il est devenu employé à la mairie avec l'espoir d'en devenir le secrétaire.
Il reprend le brevet de lithographe de la veuve Guedé car il voudrait, avec l'aide de sa femme, augmenter ses revenus d'employé municipal. En 1875, il cède à Joseph Bouthier.
Il est né le 7 septembre 1831 à Pfaffenhoffen où son père André est cordonnier-épicier. Il se marie le 3 octobre 1854 avec Marie-Salomé Schmidt, fille de cordonnier, elle aussi.
En 1852, déjà relieur, il demande un brevet de libraire qu'il obtient le 7 mars 1853. L'année suivante, son contrat de mariage évalue à 5 000 volumes le choix proposé par son cabinet de lecture. Pour son brevet de lithographe, il profite de l'annulation du brevet d'Hoffmann, seul autre lithographe avec Vix à Bouxwiller. Dans son dossier, Philippe Rosenfelder donne les motifs de sa demande : " Il désire monter une petite presse lithographique afin de pouvoir exécuter des lettres d'avis, têtes de lettres, notes commerciales, couvertures de cahiers d'école " Dès 1864, malade, il doit céder la gestion de l'imprimerie à son épouse. Il meurt le 2 juillet 1866 à 34 ans. Elle obtient les deux brevets de libraire et de lithographe le 10 décembre 1866. Son matériel de lithographie se compose alors de deux presses lithographiques d'une valeur de 300 F chacune avec les accessoires et de 97 pierres lithographiques d'une valeur de 446 F. Sa courte production comporte de l'imagerie militaire et religieuse, et des recueils de chants.
Il est né à Romans le 3 août 1829. Son père était épinglier. Il a quitté Romans depuis vingt ans pour aller travailler à Grenoble.
Après l'obtention de son brevet de lithographe, sa première demande de brevet d'imprimeur en lettres est rejetée le 24 août 1864 car Bossan, l'imprimeur installé, fait valoir qu'il n'y a pas assez de travail. Le brevet lui est, néanmoins, accordé le 15 janvier 1869 car le Préfet juge que l'activité s'est accrue à Romans et sa demande est soutenue par une pétition signée par une cinquantaine de commerçants et de notables de Romans et de Bourg-de-Péage.
En 1868, il possède cinq presses et le 27 novembre 1874, il déclare s'adjoindre une librairie.
Employé à la conservation des hypothèques comme premier commis, pendant 13 ans à Bourg, il devient notaire installé pendant deux ans dans le Jura, puis commissaire-priseur à Bourg. Il a cédé son office pour être homme de lettres : il est l’auteur de fables publiées en 1836 à Nantua, à compte d’auteur, puis reprises en 1838 chez Hachette, sous le titre Fables et quatrains ; il publie ensuite un recueil, Les Eglantines, imprimé en 1840 chez Bottier à Bourg et, en 1860 une Traduction de trente-deux nouvelles fables attribuées à Phèdre, imprimée à Saint-Etienne. Entre-temps, il a mis son talent poétique au service de la polémique avec Les coups de fouet. Epigrammes contre le citoyen-comte Abel de Moirat-Maillat, rédacteur de la Revue et du Patriote de l’Ain, dont il donne deux livraisons imprimées à Lyon en 1839 et 1840. Le propos est à la fois politique et personnel puisque son adversaire avait écrit : « Je t’aime, cher Rossand, disait une vipère […] car je te vois partout froid, rampant, venimeux. » Il publie aussi en 1850 une brochure de 8 pages, Epitre à M. Edgar Quinet, représentant de l’Ain… Il est membre de la Société d'émulation du département de l'Ain et de plusieurs sociétés savantes locales
Il a obtenu jadis quelques récompenses en dessin au collège de Burg-en-Bresse et il a travaillé de 1818 à 1823 comme correcteur chez Bottier à Bourg. l veut mettre son matériel lithographique au service de travaux érudits.
Il est né à Colmar le 12 mars 1787 ; son père était marchand. Il enseigne le dessin.
Il veut un brevet pour lithographier des dessins faits en collaboration avec Jean-Baptiste Boillot, professeur de dessin lui aussi. Il essuie un premier refus du ministère en décembre 1821, puis un second l'année suivante. Le Préfet soutient sa demande en insistant sur l'utilité pour la Préfecture d'avoir un lithographe à Colmar. Le Conseil général intervient à son tour, souhaitant que la lithographie serve à la reproduction des monuments antiques du département. À défaut de brevet les dessins de Rossbach sont lithographiés par Engelmann. Mis en demeure d'exploiter son brevet en 1860, il répond qu'il y renonce en raison de son âge.
15, rue des Augustins
Il est né le 1er septembre 1814 à Bourges (Cher) ; son père était menuisier.
Le 13 septembre 1870, il déclare s'adjoindre la typographie en même temps que ses successeurs les frères Piteux.
396, rue St Honoré
Né le 16 mars 1838.
Il souhaite posséder une presse lithographique pour faire des reports en couleurs sur presse en taille-douce pour des étiquettes. Il est également breveté taille-doucier en 1858 et libraire en 1870.
rue du Faubourg St Honoré, 14
Né le 28 février 1836 à Paris.
Il est également breveté imprimeur en lettres et taille-doucier en 1874 / Il est spécialisé dans les cartes de visites, enveloppes et en-têtes de lettres.
Elle est née le 11 mars 1770 à Bergzabern (Palatinat) ; son père était boucher. Elle a épousé l'imprimeur Bock, membre de la loge Triple Union de Wissembourg, qui avait créé son imprimerie en 1790 et qui est mort le 25 juillet 1829. Elle est mère de deux filles.
Elle avait obtenu le transfert des brevets de libraire et d'imprimeur en lettres de son mari le 2 décembre 1829. Elle s'appuie pour la direction de l'imprimerie sur son gendre Sauer. Alors que, en 1840, le Préfet a déjà donné un avis favorable pour un brevet de typographe demandé par Wentzel, elle réussit à le faire revenir sur sa décision et reste la seule typographe de la ville jusqu'en 1851. Elle imprime une feuille d'annonces, un petit journal des comices agricoles et un bulletin statistique.
Il est contrôleur des contributions indirectes.
Il a racheté une presse hors d'usage qu'il a fait réparer pour son usage personnel et pour le compte de l'Union des fonctionnaires dont il est président.
Passage de l'Argue
Elle est née à Cerdon (Ain) le 27 octobre 1814 ; son père était menuisier. Quand elle se retrouve veuve, elle a deux fils encore mineurs.
18, rue des Ayres
Il est né le 6 août 1807 à Martres (Gironde)
33, rue du Nord
Il est né le 18 janvier 1814 à Montmartre. Son père était employé des droits réunis. Il est marié et graveur sur métaux.
Il était le commanditaire de Corvizy qui travaillait dans l'atelier dont il était le propriétaire, mais il n'était pas satisfait de son assiduité. Corvizy quitte Paris et lui laisse son brevet. Selon les rapports, il exploite 1 ou 6 presses pour des étiquettes de parfumerie et des papiers fantaisie.