87, passage du Caire 76 & 78, passage du Caire 40, rue Beauregard et 77, rue de Cléry (juin 1869)
Elle est née le 12 novembre 1830 à Villers-Campsart (Somme) ; son père était journalier. Son mari est employé à la Caisse des dépôts et consignations. Ils ont deux filles. Elle semble avoir une orthographe très fautive, écrivant : "je recule breeuvet de litographe qui ma ette acordée".
Son mari dirigeait depuis près de trois ans l'imprimerie de la veuve Goupil, décédée en avril 1865 ; il a racheté l'imprimerie et la boutique aux héritiers le 9 mai 1865. L'imprimerie est un complément au commerce des étiquettes, d'où la double adresse boutique/imprimerie maintenue après la fin du premier bail.
107, rue du Faubourg Saint-Martin (1846)
Il est né le 20 juillet 1803 à Paris. Il est homme de lettres, membre de la Société des gens de lettres et, pour Polydore Millaud qui soutient sa demande, "un feuilletoniste distingué". Il a dirigé le Petit Théâtre Molière fermé en 1834 ou 1835 car le bâtiment menaçait ruine. Il présente ainsi sa demande le 12 septembre 1846 : "Homme de la presse quotidienne où je me suis fait quelque réputation sous le pseudonyme de sir Paul Robert, j'aspire aujourd'hui à une position plus modeste". Il a été condamné, en 1829, à 8 jours de prison pour librairie clandestine et, en 1831, à un mois de prison pour contravention à la loi sur les journaux ; malgré cela, il obtient son brevet.
Il démisionne en faveur de son fils et reprend les brevets de Sophie Cerf à Sèvres.
48, rue Rambuteau (1846)
Il est le frère cadet de François Joseph Lefèvre. Il s'est marié en 1833 et il est père de 5 filles.
Son frère a demandé et obtenu un brevet de lithographe en 1832, mais il est marchand de papier en gros et il confie l'imprimerie à son frère. L'affaire devient très importante sous sa direction (voir la notice Lefèvre François Joseph). Après la mort de François Joseph Lefèvre, il se prépare à faire une demande de brevet pour régulariser sa situation, mais il meurt le 6 mars 1851. Sa veuve, Nicole Sophie Delafond, doit donc reprendre le brevet de Bouchard pour pouvoir diriger l'imprimerie. Il a imprimé 100 000 bulletins et 20 000 tableaux pour l'enquête statistique industrielle. Il possède 11 presses mobilisant 20 ouvriers payés de 3 à 6 F par jour. Son chiffre d'affaires en 1849 s'élève à 50 /60 000 F.
Place Notre-Dame
Il est né à Thiescourt (Oise) le 15 août 1850. Il est clerc de notaire.
Il a racheté le matériel de Louis Edmond Rimbaut, en faillite, et le remplace comme typographe et lithographe.
Il est instituteur et secrétaire de mairie.
Il utilise une presse autographique.
Il est né à Assainvillers (Somme) le 15 novembre 1851. Il a été correcteur typographe chez Blot à Paris.
Il remplace Sean Valentin Edler comme typographe et lithographe et poursuit l'impression de l'Écho de l'Oise.
11, rue des Billettes 74, rue Vieille du Temple (juin 1871) 25, rue de la Grange-aux-Belles (mai 1874)
Il est né le 19 avril 1839 à Origny-Sainte-Benoite (Aisne). Son père était menuisier. Il est marié. Il a été ouvrier imprimeur chez Sapène, puis chez Legastelois et Girard.
Il a acheté pour 4 000 F le fonds Legastelois, déclaré en faillite le 13 août1869. Il veut imprimer des gravures de mode et de l'imagerie.
23, rue Bourbon Villeneuve (1851)
Il est d'abord papetier. Il succède à Lestrées qui est mort.
7, rue de Breteuil (1835)
Il est né le 24 septembre 1796 à Pontivy (Morbihan) ; son père était maréchal des logis.
Fabricant de jouets d'enfants, il fait travailler un assez grand nombre d'ouvriers. "Après vingt années d'un commerce étendu dans les jouets d 'enfants, auquel, pour en conserver la supériorité, il m'a fallu chaque année des nouveautés, j'imagine des objets relatifs à l'art lithographique", écrit-il pour justifier sa demande de brevet par création.
7, rue Portefoin (1869)
Elle est née le 26 mars 1834 à Paris.
Elle a acheté pour 3 000 F l'établissement de sa mère avec qui elle partageait la direction depuis longtemps. Avec 4 presses et 5 ouvriers, elle imprime des travaux de ville.
37, passage du Havre (1858)
Il est né le 26 juin 1826 à Paris ; son père est l'imprimeur lithographe Léopold Lefèvre. Marié et père defamille, il est ouvrier tapissier.
L'inspecteur Gaillard n'est pas favorable à la création de ce brevet car il pense que, n'ayant pas de qualification pour l'imprimerie, il ne serait qu'un prête-nom, permettant à son père, parti à Sèvres, de posséder deux imprimeries. Il exploite 4 presses lithographiques.
91, rue Saint-Denis (1832) 48, rue de la République
Il est né le 19 mars 1805 à Verberie (Oise). Son père était cultivateur. Marié et père de famille, il est sergent de la Garde nationale et se montre particuièrement actif lors des journées des 5 et 6 juin 1832. Il est franc-maçon. Il est prudhomme patron des industries diverses à la formation de cette juridiction. Il meurt le 23 mai 1850.
Il est marchand de papiers en gros et demande un brevet pour, dit-il, faire lui-même les travaux de ville mal faits par d'autres et sans bénéfice pour lui. En fait, il emploiera son frère cadet, âgé de 23 ans à cette époque. En 1842, il rachète les trois presses lithographiques de Kuppenheim et, en 1848, il exploite 11 presses et fait travailler 20 ouvriers dont le salaire s'élève de 3 à 6 F par jour. Il imprime pour un total de 50 à 60 0000 F par an ; il a la clientèle de la Chambre de commerce et de nombreuses administrations pour qui il fait divers travaux dont des registres ; il a imprimé en 1848 les 100 000 bulletins et 20 000 tableaux de l'enquête industrielle. À l'exposition de 1849, l'imprimerie a reçu une mention Honorable pour des travaux imputables à son frère Charlemagne.
Il est né le 6 juillet 1815 à Bernay où son père était marchand. Il a fait son apprentissage, pendant quatre ans, chez son futur beau-père Mathieu, établi depuis l'Empire à Bernay. Il devient ouvrier chez divers imprimeurs, puis prote chez Mathieu. Il meurt le 16 octobre 1861.
Il a repris le 8 avril 1850 les brevets de libraire et d'imprimeur en lettres de son beau-père décédé.
168, Grande rue
Il est né le 20 juillet 1803 à Paris. Il se dit homme de lettres (directeur de héâtre, feuilletoniste, journaliste...) Il meurt en 1872.
A près avoir démissionné de son brevet de lithographe en faveur de son fils, il reprend les 3 brevets de Sophie Cerf, mais, le 22 février 1866, le commissaire de police de Sèvres constate qu'il n'existe pas de librairie, que la machine à vapeur est démontée, que les presses ont été vendues ainsi que le brevet à un nommé Louis Amable Depée qui n'exerce pas non plus ; le bail a été résilié au 1er juillet 1866. Le 20 août 1868, Nicolas Joseph Minster se présente pour reprendre les 3 brevets. Léopold Lefèvre, lui, reprend le 27 août 1869 un brevet de libraire pour Montrouge.
5, rue Santeuil
Elle est née le 31 juillet 1805 à Nantes où son père était forgeron. Son mari a été tué le 29 juillet 1830. Elle a un commerce de reliure et papeterie et obtient un brevet de libraire le 3 novembre 1843.
Elle transmet rapidement son brevet de lithographe à son fils.
Il est professeur de dessin au collège de Belley quand il fait sa demande de brevet. Il est connu "pour ses opinions libérales très prononcées".
Son imprimerie est connue sous le nom de Lithographie de Saint-Côme. En 1822, il emploie depuis deux ans comme écrivain lithographe Joseph Silvestre ; celui-ci demande un brevet de lithographe personnel. Il quitte ensuite Lyon pour Vienne où il est nommé professeur de dessin à l'École royale gratuite de dessin. En 1821, il reçoit un prix de la Société d'encouragement pour la découvere de pierres susceptibles d'être employées pour la lithographie à Belley.
7, place de la Préfecture
Il est né à Maurois (Nord) le 28 octobre 1828.
Quelques jours après cette première déclaration pour la lithographie, il en fait une seconde pour la typogaphie. Il a racheté l'imprimerie de Lédent.
57, rue Esquermoise
Il est né le 6 septembre 1841 à Lille ; son grand-père était libraire et son père imprimeur éditeur. Il meurt le 10 octobre 1903.
C'est "une imprimerie très riche", "l'une des plus importantes de province" : en 1838, elle compte déjà 4 presses dont une mécanique. Ses publications "écrites au point de vue religieux sont vivement recherchées dans les pensionnats et maisons d'éducation" partout en France et même à l'étranger. "Les livres édités par la maison Lefort sont souvent accompagnés de lithographies qui devaient être exécutées à Paris parce que le chef de l'établissement n'avait pas de lithographie montée et c'est pour pourvoir à cette lacune que l'un de ses fils se présente pour obtenir un brevet", explique le Préfet. Le 3 septembre 1866, Joseph Lefort reprend les brevets de libraire et d'imprimeur en lettres de son père qui meurt trois ans plus tard. Il est spécialisé dans les livres de piété et les livres de prix dont une grande partie en cartonnages gaufrés à médaillons. En 1892, son gendre lui succède et l'imprimerie prend le nom de Taffin-Lefort.
8, rue Vauban (1837) 6, rue du Marché
Il est né le 3 janvier 1808 à Angoulême. Son père était marchand.
Il a un brevet d'imprimeur en lettres depuis le 15 juillet 1833 et obtient un brevet de libraire le 21 juillet 1837. Il imprime L'Instituteur de la Charente, journal des écoles primaires des académies de Bordeaux et Poitiers. Il est aussi le rédacteur et l'imprimeur du Charentais.
Il est né à Tourville-la-Rivière (Seine-inférieure) le 26 avril 1815 ; son père était boulanger.
Il quitte Méru où il avait les brevets de libraire et lithographe en décembre 1859, après 20 ans d'exercice et s'installe à Pont-Saint-Maxence le 26 janvier 1860. Déçu par le peu de ressources locales, il demande le transfert de ses deux brevets pour Tourcoing. Il a acquis un matériel mécanique nouveau et demande un brevet d'imprimeur en lettres qui lui est d'abord refusé le 11 septembre 1863, puis accordé le 12 janvier 1864.
Il est né le 26 avril 1815 à Tourville-la-Rivière (Seine-inférieure) ; son père était boulanger.
Il obtient le même jour ses brevets de lithographe et de libraire.
Il est né le 6 février 1825 à Quimper (Finistère). Son père était journalier. Il a d'abord été relieur, puis s'est adjoint un commerce de librairie pour lequel il a reçu un brevet le 28 mars 1850.
Il reprend l'imprimerie et les brevets de Lesourd. Il cesse d'exercer en 1878.
11, rue des Billettes (1868) 1, passage Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie (février 1866) 11, rue Sainte-Elisabeth du Temple (août 1860) 9, rue du Parc Royal (1859)
Il est né le 19 juillet 1824 à ParisIl est veuf et père de 2 enfants. Il a été écrivain lithographe pendant 20 ans.
Il débute avec 4 presses, puis, en juin 1862, il donne avis qu'il vient d'acquérir une nouvelle presse jesus à bras, ce qui lui fait 6 presses jesus à bras et une colombier à cylindre ; il est alors associé à Fanguet. En février 1866, quand il est exproprié de la rue Sainte-Élisabeth, il possède 11 presse dont une à double effet. Il fait faillite le 13 août 1869 avec un actif de 10 232 F et un passif de 37 949 F.
46, allée de Tourny (1838)
Il est peintre et dessinateur lithographe. Il meurt le 5 décembre 1846.
L'enquête de 1851 note que "cet établissement est le plus important parmi ceux de même nature établis dans le département". À l'occasion de la visite de la duchesse de Berry à Bordeaux, il lui présente une allégorie de la nouvelle de la naissance du duc de Bordeaux, qu'il a lui-même peinte. Pour lui manifester sa satisfaction, elle lui ccorde une médaille en or et l'autorise à peindre son fils l'année suivante. Il est décidé que le tableau de Légé fera l'objet d'une lithographie. Pour le concours ouvert par la Société d'encouragement pour l'industrie nationale en 1828 concernant les améliorations à apporter à la lithographie, il a envoyé "des échantillons de papier autographique et une suite d'estampes au trait exécutées à l'aide de ce papier. La netteté de ces dessins prouve la bonté du papier", mais il n'a pu être récompensé faute d'en avoir expliqué la préparation. Le brevet pour le report de dessins lithographiques sur les poteries, quelle que soit leur matière, est pris en association avec le peintre bordelais Edmé Noël David Préaux ; il semble qu'il initie cette utilisation qui ensuite connaîtra une grande extension.
Il est né à Auxerre (Yonne) et âgé de 70 ans. Il a été professeur au Prytanée militaire de La Flèche.
Il utilise une presse pour les besoins du Cercle catholique des ouvriers de Rennes.
49, rue Saint-André-des-Arts (1869) 14, rue Séguier (avril 1878)
Il est né le 16 septembre 1834 à Paris. Il est marié et père de famille. Il a été commis libraire, puis il a travaillé pendant 8 ans chez Firmin-Didot.
Il a racheté un fonds de papeterie dont la spécialité est le papier bristol pour cartes de visite et adresses ainsi que les papiers préparés pour le tirage des photos. Il veut un brevet de lithographe pour imprimer lui-même. Le 6 avril 1878, il déclare avoir acheté une Minerve qui doit [lui] servir pour les besoins de [sa] maison et quelques petits travaux accessoires, tels que noms des photographes à apposer sur des cartons bristols [qu'il] fabrique spécialement pour monter des épreuves photographiques
5, rue des Filles-Saint-Thomas (1852) 59, rue du Château-d'eau (novembre 1853) 42, rue des Vinaigriers (janvier 1855)
Elle est née le 9 septembre 1793. Son père était marchand. Elle a été abandonnée par son mari, parti avec une autre femme et laissant des dettes.
Elle remplace comme imprimeur lithographe son fils décédé. Elle a dirigé pendant 7 ans l'imprimerie de son fils, pris par son travail au ministère des Finances. À sa mort, elle demande à le remplacer. Elle possède deux presses lithographiques et une presse en taille-douce. Elle demande en novembre 1853 une autorisation pour se servir de cette presse. L'inspecteur Gaillard refuse, soutenant qu'elle n'a la capacité ni pécuniaire ni professionnelle pour en tirer parti ; surtout, il a découvert qu'elle a donné en location à Masson et Dextré son installation et qu'ils ont déjà monté les presses ; il ne veut donc pas encourager un trafic. Le rapport du préfet de Police, qui avait donné un premier avis favorable à la demande le 31 décembe 1853, fait un second rapport dans lequel il souligne les faibles ressources personnelles de la veuve et ses problèmes de vue, mais il se range à l'avis de l'inspecteur de la Librairie (23 janvier 1854).
Il est dessinateur lithographe depuis 7 ans à Laon. En 1874, il a quitté la ville.
Il est né à Bordeaux le 6 juillet 1799. Il est professeur d'écriture comme son père et s'est initié très tôt à la lithographie.
Il a fait deux demandes de brevet sous la Restuartion, en 1826 et 1830, qui ont été rejetées au motif qu'il y avait déjà assez de lithographes à Bordeaux. Lui pense que c'est à cause de ses opinions libérales. Aussi insiste-t-il dans sa troisième demande sur le peu d'usage que font les brevetés bordelais de leur brevet dans un lettre superbement calligraphiée.
Elle est née le 2 juillet 1822. C'est une enfant déposée à l'hospice de Pau (Basses-Pyrénées) et reconnue trois ans plus tad par sa mère, couturière. Elle a épousé l'imprimeur Pierre Lespès avec qui elle a quatre enfants.
Elle se retrouve veuve en février 1869 et reprend imprimerie et brevets. Ce sont ses filles Jenny, Ernestine et Apollonie qui lui succèderont.
45, rue des Petites Écuries (1868)
Il est né le 28 mai 1823 à Rennes (Ille-et-Vilaine) ; son père était caissier de la recette générale d'Ille-et-Vilaine.
Ami d'enfance du ministre de l'Intérieur, Ernest Pinard, il le sollicite directement pour obtenir son brevet, après que sa demande d'autorisaton pour une presse autographique a été rejetée. Il imprime des tarifs, des cotes boursières, des circulaires financières.
Il est né à Abbeville le 6 juin 1795. Son père était marchand.
Il a demandé un brevet de typographe qui lui a été refusé le 5 novembre 1839. Il demande à quitter Amiens car il n'y trouve plus de travail et n'arrive pas à y rembourser ses dettes.
10, rue de Delta (1863)
Il est né le 27 août 1816 à Villenauxe (Aube) ; son père était marchand boucher.
Il est cartonnier avant de faire sa demande de brevet de lithographe. Il fabrique des enveloppes de lettres illustrées : "on affirme qu'il en vend plus d'un million par an", note l'inspecteur Gaillard. En 1869, il demande l'autorisation de posséder quelques caractères typographiques dits "lettres de fantaise" pour imprimer sur des enveloppes et des en-tête de lettres grâce à des machines dites "timbres humides" qui ne peuvent imprimer plus de 10 x 10 cm. Sa demande est rejetée en août 1869 bien qu'il soit fournisseur de l'administration des Postes et Télégraphes.
Boulevard Mazas, 85
Né le 21 avril 1848 à Paris.
Il est né le 5 juin 1795 à Abbeville (Somme) ; son père était marchand.
Il a été breveté lithographe précédemment à Abbeville, puis à Amiens.
Il est né le 20 mars 1838 à Baslines (Eure) ; son père était journalier.
Il reprend les brevets de lithographe et de libraire de Dupuis.
Elle est née le 1er juillet 1798 à Lille ; son père était cabaretier. Elle a épousé le libraire Pruvost dont elle a eu deux filles, majeures au moment de son veuvage.
À la mort de son mari, elle reprend ses brevets de libraire et de lithographe, puis y renonce officiellement ; ils sont donc annulés.
Rue du Faubourg du Temple, 99 Rue de Bondy, 66
39, rue Pascal (1847)
Il est né le 8 novembre 1803 à Paris. Son père était vétéran. Il possède la maison qu'il habite. Soumis au test de la rédaction par l'administration, il remet un texte lyrique, mais émaillé de fautes d'orthographe.
Il a 17 ans d'expérience de la lithographie, acquise chez Dupont et Malteste notamment.
Rue de Flandre (1868) 49, rue Rochechouart (janvier1870)
Il est né le 12 mars 1838 à Caen (Calvados). Il est déclaré de père et mère inconnus, mais il est reconnu en 1842, puis légitimé par le mariage de ses parents en décembre 1849. Son père est l'imprimeur Jules Legris. Il a été militaire ; libéré en 1865, il travaille chez Chouquet, puis chez Perret comme contremaitre.
Il veut faire des travaux de ville.
52, rue de la Grande-Truanderie 7, rue Simon-le-Franc (1866)
Il est né le 2 juin 1817 à Caen (Calvados) ; son père était journalier. Son loyer est de 125 F.
Il a 15 ans d'expérience de la lithographie, ayant travaillé comme ouvrier lithographe chez Goldschmidt et chez Grellé. Il a rompu une association de six ans avec celui-ci à cause de différends d'intérêts quand s'est formée l'association d'ouvriers. Il a alors touché 1 500 F et son père l'aiderait de 2 000 F. Il compte sur la clientèle de Justin, directeur d'une correspondance de journaux. Il a acquis des pierres lithographiques dans une vente le 17 octobre 1851.
Il est né à Saint-Marceau (Ardennes) le 2 juillet 1814. Son père était paveur. Il est chef de la lithographie à la direction des Messageries impériales.
10, rue du Clocher Saint-Pierre 37, rue de la Mairie
Il propose lithographie et autographie pour des travaux de ville. Il est aussi encadreur, libraire, vend des fournitures de bureau, des images et des objets de piété.
Il est actif dans les années 1860.
Passage du Caire, 99
Né le 24 novembre 1834 à St Just en Chaussée (Oise).
Il est également breveté typographe en 1879. Il est ouvrier lithographe depuis 1851.
46, rue des Bons-Enfants
Elle est née le 23 janvier 1808 à Hautot-L'Auvray (Seine-inférieure) ; son père était cultivateur. Elle a épousé l'imprimeur Surville et, durant sa longue maladie, gère l'imprimerie.
À sa mort en février 1849, elle est sa seule héritière et reprend ses brevets de lithographe et d'imprimeur en lettres.
Il est né à Douai (Nord) le 17 octobre 1835 ; son père était fabricant de chandelles.
Il reprend les trois brevets de son beau-père décédé. Il s'associe avec la veuve de Prignet pour créer une succursale de son imprimerie à Valenciennes le 13 avril 1878.
Il aurait été breveté le 2 mai 1855 lithographe et taille-doucier ; il aurait été remplacé par Armanet en 1874.
15, rue Marchande
Il est né au Mans le 9 janvier 1833 ; son père était peintre.
Il reprend le même jour le brevet de lithographe de Boulay et ceux de libraire et imprimeur en lettres de Loger, qui étaient associés.
36, ue Réaumur 39, rue des Marais-Saint-Martin (1863) 37, passage du Caire (1879)
Il est également breveté typographe en 1871.
56, rue du Chemin de Reuilly (1869)
Il est né le 28 mars 1841 à Corny (Moselle). Sa femme, de nationalité belge, épousée en 1841, tient un commerce de vins "mais si peu important que le pétitionnaire y renoncera pour s'occuper exclusivement de son état d'imprimeur", note le Préfet de police. Il a été ouvrier lithographe chez Commecy, Létang et, enfin, chez Butot. Il paie 600 F de loyer.